Virevoltent dans l’air les oiseaux bleus de ses rêves débonnaires. Amaury, douceur incarnée et féminité assumée, la fine-lame de Beauxbâtons, le bourgeois gentil-poète, le séraphin aux cheveux d’or. On lui prête autant de sobriquets qu’il a de casquettes. Tantôt Prince des belles paroles, tantôt d’Artagnan, chacun a déjà entendu parler de lui au moins une fois, ne serait-ce que pour se moquer de sa sensibilité qui ne sied d’ordinaire pas aux messieurs de la noblesse magique. Voyageant à travers un monde totalement étranger aux autres, Amaury se complet dans sa passion dévorante pour l’art et l’escrime, sport dans lequel il s’est illustré brillamment depuis qu’il est en âge de porter le fleuret. Sa candeur et sa douceur en font un garçon apprécié des filles de l’école mais on le connait davantage solitaire qu’entouré. Garçon sans conquête, sans quête et sans but, il virevolte tel un oiseau dans les couloirs de Beauxbâtons à la recherche de l’inspiration. Il ne rechigne pas à se dire royaliste bien qu’il reste indécis dans son cœur, et à présent qu’il est devenu Baron de Brissac, il se plie parfois aux exigences mondaines pour ne pas offenser ses pairs. Créatif et touche-à-tout, sa curiosité légendaire l’a mené à étudier les mystères de la magie tout en se laissant approcher par les Chorégies. Et dans ses nuages, paradis envoutant où il laisse voguer son esprit, le poète rêve, idéalise et espère. De son violon, instrument de sa sensibilité, il laisse exprimer son univers dans lequel il espère un jour y emmener quelqu’un, rêvant du jour où il pourrait goûter aux lèvres sucrées d’un autre Jules.
Aussi étroit soit le chemin, Nombreux les châtiments infâmes, Je suis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme.
PRÉNOM(S), NOM ▽ amaury de cossé-brissac, pour vous servir, bien qu’on me connaisse plus communément sous le sobriquet de fine-lame ou de bourgeois gentil-poète. je me suis davantage illustré dans l’art de l’escrime et des belles paroles que dans l’art de la mondanité. j’ai beau avoir un rang on ne peut plus confortable en tant que baron de brissac, je n’en reste pas moins un étudiant français ne vivant que pour l’art. NAISSANCE, ÂGE ▽ je suis né un matin d’hiver, le vingt-deux décembre, à brissac-quincé, dans le château familial (comté d’anjou, duché de la loire). j’ai fêté dernièrement mes vingt-et-un ans. NATIONALITÉ ▽ je suis tout ce qu’il y a de plus français dans ce monde magique. ASCENDANCE ▽ du sang mêlé coule dans mes veines et je ne m’en vois aucunement offensé. je ne l’exhibe pas non plus comme une fierté. à vrai dire, j’estime que ces histoires d’ascendance ne sont que des fioritures navrantes. TITRE ▽ à la mort de mon père, j’ai hérité de son titre de baron de brissac. j’ai toujours un peu de mal à m’y faire, je dois bien avouer… ANNÉE D’ÉTUDE, CURSUS, ÉCRIN ▽ j’entame ma septième année à beauxbâtons et j’étudie les mystères de la magie. j’appartiens à l’écrin améthysse, noble joyau de l’art et de la passion. certains se demandent encore pourquoi je n’ai pas choisi la voie littéraire et artistique qu’offre l’école et qui semblait m’être destinée; il s’avère que, quand bien même je souhaiterai vivre de ma passion pour l’art, je nourris une passion quasiment équivalente pour la magie et ses mystères. mon naturel curieux me pousse surtout à toucher à tout et à découvrir chacun des secrets de notre monde. RESPONSABILITÉS, ACTIVITÉS PARASCOLAIRES ▽ depuis ma plus tendre enfance, je baigne dans un univers très créatif et passionné. mes parents, bien qu’issus de la noblesse, s’affranchissaient du reste de leurs compères et s’illustraient en tant qu’artistes débonnaires, ce qui leur valut bon nombre de critiques. pour autant, cela ne les a pas empêché de m’inculquer une éducation conséquente de la vie qu’ils menaient. ainsi donc je pus très tôt m’initier au violon et à la poésie. j’entrepris également, d’abord par souci de provocation, puis par passion, de m’exercer à l’art de l’escrime. enfin, comme tout noble qui se respecte, j’avais trouvé en l’équitation un moyen de me fondre davantage dans la masse mondaine; il le fallait bien après m’être tant marginalisé. aujourd’hui, je jouis d’une place confortable au sein des chorégies, repéré pour mes talents incontestés de violoniste et mon amour pour la poésie. malgré tout, je reste un étudiant qui divise par la pratique assidue et passionnée de l’escrime, une activité que les plus royalistes de mes camarades condamnent fermement. peut-être certains changeront leur vision des choses; je crois avoir aperçu plusieurs fois le dauphin de france aux entraînements d’escrime. on dit de lui qu’il est un escrimeur hors-pair… ce serait un honneur de pouvoir l’affronter en duel. PATRONUS ▽ véritable symbole de mon indépendance et de ma créativité, mon patronus prend la forme d’un cerf.
Dorures et Ornements
LES VALISES Vous remarquez dans le fond du dortoir des messieurs améthysses deux valises imposantes de style ancien, rangées soigneusement à côté d’une armoire en chêne. Vous vous approchez et vous remarquez très nettement que ces bagages ont du vécu. Le tissu recouvrant l’armature est de couleur pourpre particulièrement sombre tandis que les coutures et les quelques décorations florales sont d’un doré vieilli. De prime abord, vous vous demandez ce que des valises de femmes font dans cette chambrée… Pourtant, vous tendez la main vers le verrou et les deux valises tortillent doucement avant de s’ouvrir d’elles-mêmes avec délicatesse. Aussitôt, de minuscules oiseaux bleutés s’évaporent dans l’air et une légère odeur de parfum emplit les lieux. Vous devinez aisément qu’il s’agit des affaires d’Amaury de Cossé-Brissac, le bourgeois gentil-poète, certainement le seul étudiant à revendiquer sa part de féminité sans honte. Il n’y a d’ailleurs que lui pour enchanter ses bagages de telle manière. Vous reconnaissez ses vêtements légers et ses costumes d’apparat sous les trois exemplaires de la tenue traditionnelle des garçons de l’école. Vos mains soulèvent avec précaution cette garde-robe et vous découvrez sous celle-ci un amoncellement de petites boîtes à bijoux tantôt ivoires, tantôt transparentes. Vous vous saisissez de l’une d’elles et, avec déférence et fascination, vous tâchez d’ouvrir lentement ce trésor. Vos yeux se posent sur ses nombreuses bagues en argent et sur les quelques pendentifs en or, mais vous êtes davantage attiré par cette vieille chevalière au large chaton gravé d’armoiries familiales qui trône à côté de sa réplique plus jeune, celle qu’il porte la plupart du temps. En la scrutant avec minutie, vous remarquez qu’il s’agit du symbole des Cossé de Brissac, une tête de licorne, et vous comprenez alors qu’Amaury est bel et bien le nouveau Baron. Vous remettez soigneusement l’objet dans la boîte et vous rangez le tout en refermant la première valise.
Dans la seconde valise, vous remarquez son matériel scolaire parfaitement rangé et dont il s’est servi pendant ces presque sept années passées à l’académie. Contrairement à d’autres élèves qui auraient pu renouveler sans cesse leurs fournitures, Amaury a toujours prêté une attention toute particulière à prendre soin de celles-ci. Vous vous apercevez avec stupeur qu’il conserve même les manuels de ses premières années dont les reliures restent parfaites et les couvertures sans accrocs. À côté des bouquins se trouvent divers flacons et bocaux. Certains sont vides tandis que d’autres sont remplis d’ingrédients étranges; bave de crapaud, confiture de citrouille, crin de licorne, moustache de fléreur, purée de fraises, œufs de poisson, yeux de triton, marmelade. Sûrement est-ce là son attirail pour la confection de potions. Un sourire en coin se dessine sur votre visage; il est drôle de voir la différence de contenu entre les deux valises. Tandis que dans l’une flotte une atmosphère particulièrement féminine, vous vous rendez compte qu’Amaury sait également se montrer très perfectionniste et studieux, quitte à salir ses fines et jolies mains pour tremper ses doigts dans ces bocaux. Enfin, dans une partie dissimulée dans le coin de sa valise, vous trouvez sa baguette magique. D’une longueur de trente-deux centimètres et quelques poussières de millimètres, elle a été sculptée avec finesse dans du bois d’alisier, symbole des artistes, de la poésie et de la musique. Comment la baguette d’Amaury de Cossé-Brissac, celui que l’on surnomme le bourgeois gentil-poète, aurait-elle pu être faite autrement ? Vous comprenez ainsi toute la complicité qui le lie à cet objet si cher à son cœur. Telles des âmes sœurs, les deux se sont trouvés pour ne jamais plus se quitter et cette baguette magique s’avère aussi vivace et spontanée que son propriétaire. La souplesse légendaire de son bois et son poids légèrement plus faible que les baguettes ordinaires reflètent sa sensibilité et son besoin d’amour. Lorsque vous saisissez l’objet, vous ressentez immédiatement sa douceur et sa flexibilité; si vous êtes une femme, elle pourrait facilement être vôtre si vous le souhaitiez ardemment et vous le savez pertinemment, mais tout devrait se faire dans la plus pure des sincérités. Vous sentez que l’arme n’accepterait jamais de jurer allégeance à un être mauvais par nature. En observant ses traits d’un peu plus près, vous remarquez qu’elle est très légèrement lustrée. Très maniable, il doit être assez aisé de la briser. Vous ne savez absolument pas ce qu’elle contient en son cœur, mais Amaury vous répondrait d’un ton enjoué que sa baguette puise sa force dans une larme de licorne. Cette réponse vous arrache un rire non contrôlé mais vous rassemblez les pièces du puzzle : d’ordinaire, ce genre de baguette affectionne davantage les dames, et c’est sûrement la candeur, la douceur et la féminité assumée d’Amaury qui lui a valu d’être choisi par cette dernière. Vous savez maintenant d’où provient cette atmosphère chantante qui semble planer autour d’Amaury lorsqu’il lance ses sorts de magie blanche. Quand le garçon améthysse tient son arme magique dans ses mains, vous apercevez ses mouvements gracieux et aériens comme s’ils flottaient dans l’air. Leur complicité vous fascine tellement que vous en perdez le fil de vos pensées.
Après avoir remis la baguette dans son emplacement originel, vous finissez par ranger le reste de ses affaires et refermez cette seconde valise. Les oiseaux bleus qui s’étaient évaporés à l’ouverture des bagages d’Amaury réapparaissent doucement et virevoltent autour de vous, délivrant de leur minuscule bec un chant reposant. Votre regard fait le tour de la pièce et vous remarquez près de son lit l’étui de son violon et des dizaines de recueils de poèmes aux reliures vieillies sur sa table de nuit. Vous vous surprenez à l’imaginer jouer de son instrument et cette pensée vous transporte. La plupart des étudiants ont beau l’ignorer, Amaury est véritablement une personne passionnée et extrêmement attachante.
BEAUXBÂTONS Parlons-en, justement, de cette fameuse académie dont tout le monde vante les mérites. Votre personnage a certainement son propre avis à son sujet : correspond-t-elle à l'école dont il rêvait lorsqu'il était enfant ? S'y sent-il à l'aise ? Aime-t-il y suivre ses cours ou leur préfère-t-il des moments de loisir comme faire les boutiques à Orange ou flâner dans les jardins de l'académie à moins qu'il ne soit un fervent joueur de polo et qu'il passe tout son temps libre aux écuries ? À vous de nous dire, dans cette partie, comment votre personnage vit sa scolarité. N'oubliez pas de nous parler de son niveau scolaire ainsi que des cours qu'il affectionne et ceux qu'il préfèrerait déserter, peut-être aussi de ses rêves d'avenir.
ACTUALITÉ POLITIQUE Un célèbre moldu a un jour dit que « l'homme est un animal politique » et l'histoire de notre monde a maintes fois prouvé, depuis, que la politique est inhérente à l'homme. C'est pourquoi nous aimerions savoir ce que votre personnage pense du système qui l'entoure : Est-il satisfait de son roi ? Que pense-t-il de la noblesse et jusqu'où pourrait-il aller pour atteindre le sommet de la gloire, si jamais il le convoite ? Allez, un peu d'entrain, après tout on a tous en nous une âme de politologue. Vous en doutez ? Pourtant le dernier numéro de la revue MSBA (Ma Sorcière Bien Aimée) titrait en première page « Les dix hommes les plus sexys et les plus influents en 2012 » où Marien Leblois, futur roi de France, y est cité. Une merveilleuse occasion pour vous de nous dire ce que votre personnage pense de lui. Voyez comme la politique est partout. Prenez encore l'exemple du décès de Solange Desclève dont les médias n'ont cessé de parler durant tout l'été et qui était sur toutes les bouches. Même la votre. C'est pourquoi vous aurez bien quelques mots à nous dire sur le ressenti de votre personnage face à cette tragédie qui secoue le monde français.
PARTICULARITÉ(S) Nous avons tous quelque chose de particulier, une chose qui nous rend si différent des autres. Votre personnage également, à n'en pas douter. Certains se targuent d'origines prestigieuses ou rares, d'autres ont un pouvoir magique exceptionnel offert par la nature, mais la plupart ont des secrets et des particularités plus discrets : une cicatrice, à l'âme ou au corps, en souvenir d'une bataille mémorable, un trait de caractère irrésistible qui est la première chose que l'on remarque chez eux, une passion qui occupe toute leur vie, un souvenir immuable d'un moment passé, un rêve qu'ils sont sûrs de réaliser, etc. il y a tant d'exemples. Et vous, saurez-vous nous dire ce qui rend votre personnage si particulier ?
Les notes de la duchesse
Le garçon se tient dehors, devant vous, adossé contre une chariote, une pomme déjà bien entamée à la main. De prime abord, il semble être un jeune homme de bonne constitution. Vous détaillez sa fine musculature quelque peu travaillée; malgré sa flagrante chétivité, ses quelques formes mettent en évidence ses charmes masculins. De grande taille, son apparence globale vous intrigue. Même s’il n’est vêtu que de haillons, il dégage un charisme certain et cette aura mystérieuse qui l’entoure semble presque palpable. Vous vous demandez de qui il peut bien s’agir, et à mesure que vous l’observez, vous finissez par deviner : ce ne peut être que ce fameux gentil-poète, la fine-lame, celui qui semble faire chavirer bon nombre de cœurs féminins à Beauxbâtons. Son regard rêveur et envouteur accroche chacun des nuages qui traversent le ciel azur. Ses talents d’artiste et d’escrimeur sont à la hauteur de la renommée de l’école dans lequel il a grandi, certainement l’académie magique la plus populaire de toute l’Europe. Il croque sensuellement dans sa pomme et vous percevez un fin sourire alors qu’il prend son temps pour mâcher. Il vous parait désinvolte, détaché du monde dans lequel il évolue, presque insouciant. Il se fiche du regard noir de certains passants, il finit même par en rire. Tout son être transpire la joie de vivre et l’amusement, et ça se ressent dans son allure. Il finit par jeter par-dessus son épaule le trognon de pomme et se dégage de son appui. Il relève les manches de son ample haillon en lin blanc qui lui couvre le torse avant de pousser la porte de l’auberge interdite. Piqué dans votre curiosité, vous parcourez ces plusieurs mètres qui vous séparent de l’endroit et vous vous décidez à faire de même, pénétrant dans cette demeure à l’atmosphère ensorcelante.
Sans aucune fenêtre, la lumière des lieux est tamisée, fruit des chandeliers et bougies qui ornent magiquement le plafond, les murs et les tables. Il fait horriblement chaud, et à mesure que vous évoluez parmi les dames en tenue légère, vous finissez par retrouver l’éphèbe. À présent dévêtu de son haillon blanc, il est allongé sur une table, le torse nu. Seuls restent ses braies de couleur beige. Il est bientôt rejoint par deux femmes qui caressent sa peau de porcelaine. Des éclats de rire s’élèvent, le tout semble particulièrement ingénu. Malgré les caresses et la nature du lieu, l’innocence de l’Apollon crève les yeux. Après s’être relevé et avoir dansé avec une de ses partenaires, il finit par vous apercevoir. Un fin sourire en coin se dessine sur ses lèvres délicieusement ourlées et il s’élance joyeusement à votre rencontre. La musique des lieux s’intensifie pour venir couvrir les rires et les hurlements joyeux. Il passe ses mains autour de votre cou et, après vous avoir fait tournoyer quelques instants, vous pouvez détailler à votre guise son visage. Vous plongez sans retenue dans son regard intense, le bleu de ses yeux vous faisant aussitôt penser à l’étendu azuréen du ciel. Vous remarquez aussi le petit arc de cupidon de sa lèvre supérieure et l’air rieur que prenne chacun de ses sourires. Vous passez vos mains dans ses longs cheveux blonds et étrangement doux au toucher. Les siennes s’aventurent dans votre dos et, après avoir agrippé vos hanches, il vous colle à lui. L’odeur suave qu’il dégage vous enivre : un délicat mélange d’ambre, très légèrement épicé, arrondi avec une note plus charnelle de cannelle. Cette senteur cabalistique et ténébreuse vous rappelle alors tout l’exotisme dont fait preuve cette auberge interdite. La peau de son corps est brûlante, vous le sentez lorsque vous enfouissez votre visage dans son cou masculin. Vous relevez le chef, il vous invite à partager le breuvage alcoolisé d’une chopine qu’il vient de dérober sur une table. Quelques gouttes perlent de ses lèvres mouillées que vous venez embrasser sans plus tarder. Elles ont un léger goût de miel. Merci l’hydromel. Il rit. Vous êtes définitivement sous le charme. Vos mains se promènent à présent sur ses frêles épaules avant de gambader sur ses avant-bras. Vous prenez ensuite ses mains dans les vôtres que vous caressez lentement, détaillant avec attention ses traits. À la fois douces et délicates, elles semblent taillées pour tenir un fleuret et un archer de violon. Vous revenez alors sur son torse pratiquement imberbe dont les délicieux muscles dessinés vous font frémir. Vous ne pouvez vous empêcher de parcourir son bas-ventre de vos doigts agiles. L’artiste garde un sourire rieur mais semble particulièrement gêné et vous retient presque aussitôt votre main baladeuse. À en croire son regard fuyant perdant peu à peu de son étincelle, vous comprenez qu’il vaut mieux ne pas le brusquer et le laisser s’échapper délicatement d’entre vos doigts.
Lorsque vous rencontrez Amaury pour la première fois, vous remarquez bien vite son sourire ensorcelant qui illumine ce visage angélique. Il semble ne jamais le perdre, comme si la vie entière était un jeu pour lui. Jovial et frivole, il semble presque insouciant, comme s’il était resté éternellement un enfant. Son physique ne trompe pas et montre bien que vous avez à faire à un espèce de Peter Pan. Il transpire l’innocence et même s’il joue volontairement de ses charmes, vous savez qu’il n’y a aucune arrière-pensée derrière ce comportement. Il ne fait que reproduire ce qu’il a appris depuis son plus jeune âge; car en grandissant dans un milieu artistique, que pouvait-il devenir d’autre ? Il a simplement gardé une âme juvénile qu’il vous sera aisé de contempler.
Quand il s’approche de vous, sa fougue vous interpelle. Entre rires et sautillements, il vous est difficile de ne pas croire que ce garçon est passionné par la vie. En bon amoureux de la fête et de la poésie qu’il est, vos narines perçoivent immanquablement ses légères effluves d’alcool. Une odeur à la fois bestiale et délicate semble émaner de lui. Ce jeune sorcier vous intrigue, tant par sa beauté que par sa personnalité. Il ne semble pas insatisfait de sa vie, bien au contraire. Il semble même fier. Fier de ce qu’il est, fier de ses origines. Il vous confesse qu’il ne changerait pour rien au monde. Il plaisante d’ailleurs à dire qu’il est devenu ce que les Dieux avaient prévu pour lui. Pour autant, même s’il parait pétillant en toutes circonstances, vous sentez une certaine fragilité lorsque votre prise sur son bras se fait plus virulente. À fleur de peau, vous devinez aisément qu’il s’agit d’un garçon rêveur et doux. Mais ne vous méprenez pas, bien qu’il ait souvent l’air d’être un agneau étourdi, vous seriez surpris de voir que le garnement est plutôt caractériel. Même s’il semble sans défense au premier abord, il a plus d’un tour dans son sac pour esquiver une situation dangereuse. Rusé et passé maître dans l’art de la manipulation et des tours de passe-passe, il joue de ses charmes auprès de vous pour vous attendrir. Avant même que vous n’ayez pu dire «ouf», le voilà vous menaçant de sa baguette sous votre gorge. Vous riez, vous le contenez aisément et vous arrachez son arme que vous jetez au fond de la pièce. Vous savez qu’il est susceptible et rancunier, ça ne vous empêche pourtant pas de le mener en bourrique. Quand bien même il semble affecté par vos ricanements moqueurs, c’est un garçon détaché qui sait faire la différence entre une véritable relation humaine et les mondanités.
Les allégories princières
Vous pouvez présenter ici l'histoire de votre personnage sous forme d'une ou plusieurs anecdotes. Nous vous laissons choisir les faits à relater, mais attention, nous parlons bien ici d'anecdotes (qui nous permettront par la même occasion de vous voir en situation rp), et non pas de récit biographique. Votre seule contrainte est de nous donner un minimum de 1 500 mots.
Notez que nulle démarche particulière n'est nécessaire pour jouer un personnage avec un don particulier (troisième œil, fourchelang, demi-vélane, etc.) cependant, nous vous demandons de bien détailler dans votre histoire tout ce qui y a trait : comment a-t-il découvert sa différence, la vit-il plus comme un don ou plus comme une malédiction, ce que ça lui apporte, qu'est-ce que cela a changé dans sa vie, etc.) Vérifiez bien également dans les registres que les particularités que vous convoitez soient bien disponibles.
L'écrivain anonyme
PSEUDO/PRÉNOM : rier./florian. ÂGE : vingt-et-un ans. PRÉSENCE : trois à quatre jours sur sept. ça dépend vraiment de la masse de travail, ça varie d’une semaine à l’autre (vive la fac ). COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : grâce à bazzart, et j’avais fait une apparition furtive ici en tant que trajan kovacevik. COMMENTAIRE(S) : je suis vraiment ravi de voir que le forum a rouvert ses portes, encore plus beau et plus complet qu’avant ! AVATAR : jamie campbell-bower, mon amoureux. MOT DE LA FIN : vive les artistes !
Les banalités protocolaires
Vous l'aurez remarqué, afin que chacun puisse se repérer le plus facilement possible, Ad Astra tient un certain nombre de registres. Aussi, afin que ceux-ci soient tenus à jour et que vous ne soyez pas oublié, nous vous demandons de nous indiquer ici les registres dans lesquels il faut ajouter votre personnage. Vous pouvez retrouver les registres à cet endroit.
Dernière édition par Amaury de Cossé-Brissac le Ven 8 Nov - 22:26, édité 9 fois
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Sujet: Re: amaury. (e.c.) Lun 4 Nov - 6:20
Jamie + le pseudo. J'arrivais pas à le voir avant, mais depuis qu'une pote est en kiff dessus je m'y habitue. Bonne chance pour la suite de ta fiche.
MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Melian Devlin
◗ HIBOUX : 860 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : riddermark (florence) ◗ CREDITS : hollow bastion ; killianhjones ; signature by wild heart ◗ SANG : Devlin-Colbert, sang pur. Dernière survivante de la famille française Colbert. Parents enfermés à Azkaban. ◗ PENSINE : Excellente cavalière et escrimeuse. Douée et dangereuse en duels de sorciers. Possède une grande maitrise du feu.
(re)bienvenue ici alors. Je crois me souvenir de toi, tu avais pris Harry Lloyd non ? En tout cas tu as de bons goûts avataresques parce que JCB, et en plus en artiste, ça claque claque claque.
Enfin je te souhaite bonne chance pour ta fiche et hésite pas si tu as des questions.
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Sujet: Re: amaury. (e.c.) Lun 4 Nov - 10:18
merci beaucoup pour l'accueil. vous êtes adorables. et puis jamie c'est le plus beau d'abord.
en effet perrette, j'avais harry lloyd ! merci beaucoup pour les compliments sur mon petit artiste.
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Sujet: Re: amaury. (e.c.) Lun 4 Nov - 10:53
Alors, j'aime le prénom, j'aime la ville de naissance (merci le super jeune sapeur-pompier de Brissac, délégué de ma classe pour m'avoir fait aimer cette ville), j'aime l'avatar (Jace quoi ), j'aime aussi l'obédience (Les Chorégies au pouvoir !), bref j'aime le persos MaisjeresteraisfidèleàLéopoldquandmême
Du coups, Bienvenue ici Et j'exigerais un lien après ta validation
MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Juliette de Noblecourt
◗ HIBOUX : 1338 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : westallen. ◗ CREDITS : shiya, tumblr. ◗ SANG : Maison de Noblecourt, sang-bleu. ◗ PENSINE : maître dans l'art de la bêtise.