MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
C. Diane Deulceux ◗ HIBOUX : 184 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : ARTHUR DE NOBLECOURT./WR∆TH./LOLA. ◗ CREDITS : CRIPSOW. TUMBLR. ◗ SANG : SANG-BLEU (DUCHÉ DE WALLONIE). ◗ PENSINE : ÉLECTRON LIBRE REDOUTABLE AU FLEURET, À LA RHÉTORIQUE ET AUX DUELS.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: (m) LÉONARD PALLAZO › NOUS N'ÉTIONS PAS FAITS POUR TAPER DANS LE MILLE. Dim 3 Nov - 18:09 |
| Léonard Pallazo FEATURING JAMIE BELL
© Extasy |
AGE ☞ vingt-deux ans. NAISSANCE ☞ au choix. ASCENDANCE ☞ sang-mêlé – son père était lui aussi un sang mêlé et sa mère, une née-moldue. TITRE ☞ vicomte de Bastia. ANNÉE ☞ huitième année. ÉCRIN ☞ rubissan. RESPONSABILITÉ(S) ☞ aucune.
› Les Pallazo sont pauvres. Autrefois proches de la maison Di Nannucci, jadis famille ducale de Corse, ils ont récupéré le vicomté de Bastia mais perdu une bonne partie de leur pouvoir économique et politique après l'extinction de la maison ducale. › Léonard a été élevé par sa mère, une née-moldue issue de Paris, car celle-ci a vite compris que le père de son fils n'était pas quelqu'un de bien ni pour elle, ni pour leur progéniture. › Effectivement, le père de Léonard est tristement célèbre pour avoir été un révolutionnaire terroriste se battant et pour l’indépendance complète de la Corse, et pour le renversement de la monarchie. Il a été emprisonné à la prison de la ville magique d'Ys il y a une dizaine d'années. › A la mort de sa mère quand il avait seize ans, Léonard a enfin connu la terre corse de ses origines. Son oncle avait pris les rênes du vicomté de Bastia en son absence. › A son retour en Corse, il a vite été embarqué par sa famille et ses proches dans leurs idéaux révolutionnaires et indépendantistes.
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Diane Deulceux 01. HANGAR LADYNAMITE. /02. BB BRUNES COUPS ET BLESSURES. /03. ARTICK MONKEYS LOVE IS A LASERQUEST. /04. B∆STILLE FT. ELLA NO ANGELS. /05. ED SHEERAN DRUNK. /06. PITCH PERFECT COVER SINCE YOU BEEN GONE. /07. BOYCE AVENUE COVER WE ARE NEVER EVER GETTING BACK TOGETHER. /08. TANNER PATRICK COVER CLARITY. /09. FALL OUT BOY FT. BIG SEAN THE MIGHTY FALL. /10. PARAMORE STILL INTO YOU. Diane et Léonard. Léonard et Diane. Malgré leurs différences, malgré tout dans ce triste monde qui semble les séparer, les deux jeunes gens sont sortis ensemble lors de leur quatrième année. Leur histoire n'a duré que trois mois (un record pour l'un comme pour l'autre) et ce fut trois mois intenses, passionnés et agrémentés de conflits à la lumière de leurs caractères respectifs. Sauf que, au fur et à mesure, Léonard se faisait trop possessif, trop jaloux et voulait absolument tout contrôler à propos de Diane. Et il voyait d'un très mauvais œil la proximité entre le Dauphin de France, Marien Leblois, et sa petite amie. Sa colère poursuivait Diane partout – même si leur idylle était sensée rester secrète – et Dieu seul sait à quel point elle détestait ça. Elle avait l'impression que Léonard voulait en faire sa chose et elle détestait cette idée. Et si Diane l'appréciait beaucoup – non, l'aimait –, elle ne voulait en aucun cas se montrer avec un sang impur au bras, quand bien même fut-il vicomte et adorable. Toute cette situation aussi énervait Léonard, un peu plus irritable de jour en jour. Il voulait crier cet amour, cette passion qui lui consumait les entrailles, il voulait que le monde le sache et il voulait que Diane en soit heureuse. Tout cela mena rapidement à leur douloureuse rupture, orchestrée par Diane. Ce n'était pas son amour pour lui qui lui faisait défaut mais bel et bien le courage d'assumer cette passion pour un sang vicié. Toutefois, l'argument qu'elle a utilisé en le plaquant lâchement au moyen d'une lettre, c'était parce qu'il marchait dans les pas de son père et qu'elle ne pouvait le supporter. Depuis, on peut dire que la relation entre Diane et Léonard s'est dégradée. En fait, on aurait du mal à penser qu'ils aient pu s'aimer à un moment de leurs vies. Si, pendant un temps, Léonard a tout fait pour la faire revenir vers lui, il a très vite compris que c'était peine perdue. Désormais, ça fait quatre ans qu'ils se font la guerre – et ce, plus que sérieusement. Si seulement ils se croisent dans un couloir, on peut les voir presque se cracher dessus en se lançant des horreurs au visage. Et pire, quand ils se retrouvent côte à côte durant un cours... non, ça n'est jamais arrivé et mieux vaut penser que ça n'arrivera jamais pour la sécurité des autres élèves autour. Sans que personne ne comprenne pourquoi, donc, Diane et Léonard sont en guerre ouverte et violente, prêts à tout pour se faire du mal. Leurs raisons ? Leurs idéaux qui divergent un peu plus à mesure que le temps passe. Et leur rancoeur de n'avoir jamais eu la chance de mener une histoire simple et saine. Mais, surtout, leur terrible envie de réprimer l'attirance qui les lie, malgré tout. - Extrait de ma fiche centré sur Léonard:
►no, i don’t want no scrub a scrub is a guy that can’t get no love from me Ce garçon était spécial. Déjà, il avait fait porter à Diane un pantalon. Oui. Un pantalon. A Diane. Un pantalon moldu. Evidemment, elle l'avait enfilé dans le plus grand secret, plus curieuse que charmée par le ton impérieux du jeune homme quand il lui avait presque ordonné (à elle !) de le mettre. Un pantalon. Elle avait l'impression que ses longues et fines jambes étaient emprisonnées dans une prison de tissu pour le moins désagréable. Ensuite, ce garçon, il avait le sourire. Vous savez, le sourire, un peu de traviole, un peu canaille, qui fait fondre les cœurs. Un sourire qui avait fait flancher la résolution de Diane une fois qu'elle s'était interdite de le revoir, sous prétexte que son sang était impur. Laisse moi une dernière chance, qu'il avait dit avec son sourire et Diane, elle le savait, était perdue. Il se retourna vers elle, avec son stupide sourire, attrapa sa main pour l'aider à escalader le rocher et ne la lâcha qu'avec un temps de retard. Léonard avait tout prévu. D'un coup de baguette, il fit apparaître sur le sol une couverture et s'y assit en tapotant la place à côté de lui pour qu'elle en fasse autant. La blonde n'hésita qu'un quart de seconde. C'est vrai que c'était vraiment plus simple de s'asseoir avec ces djinns qu'avec une robes. Le bruissement léger de la Meyne la calmait et, très vite, elle ferma les yeux en se laissant bercer par le bruit de la forêt autour d'eux. A grands renforts de sourires et d'airs convaincus, le jeune homme l'avait conduite dans la ville d'Orange côté moldu avant même de l'emmener en pleine cambrousse pour un moment de calme. Il était définitivement spécial car c'était déjà une affaire complexe d'emmener Diane dans quelque embrouille hors de la ville ; et encore plus quand c'était par un garçon plus autoritaire qu'il n'aurait fallu. Mais Dieu, son sourire. Elle rouvrit les yeux sur ce dernier. Il était confortablement installé, allongé de tout son long sur la couverture, les pieds juste au-dessus de la rivière qui se précipitait vers le Rhône. Léonard regardait les arbres au-dessus de lui avec un petit air mutin, souriant comme si cette simple situation le rendait hilare, excessivement heureux. Diane ne put s'empêcher de penser qu'il avait l'air d'un petit garçon, encore un enfant, même si, tous les deux, ils avaient désormais dix-huit ans. Dix-huit ans. Elle soupira discrètement avant de s'allonger lentement à côté de lui, ses yeux se perdant dans les feuilles des arbres qui, rétrospectivement, n'avaient rien de particulier. C'était des feuilles sur des branches, rattachées à des branches, rattachées à un tronc. Diane n'était pas une grande fan de la Nature, surtout depuis qu'elle avait failli finir à l'hôpital suite à une allergie au pollen. Mais pour un joli sourire, elle était bien capable de rester une longue après-midi à se prélasser sur la mousse de la forêt avec la rivière et les oiseaux dans les oreilles. Son œil tomba sur le profil de Léonard qui, ayant certainement senti son regard, écarquilla les yeux vers elle. Il avait l'air sincèrement idiot et elle ne put s'empêcher de sourire lentement, ses lèvres s'étirant pour dévoiler les petites parenthèses qui les entouraient. « On est bien ici, loin de la folie de l'école. » fit-elle en détournant les yeux vers le ciel taché de nuages blancs et gris. « Oui. Deux personnes normales dans un environnement normal. » C'est un sang impur, se rappela-t-elle. C'est normal que pour lui l'école ne soit pas un environnement normal. Aussitôt, elle condamna la porte ouverte à la pensée, sinueuse, perfide, qui vint lui souffler qu'elle n'avait rien à faire avec un sang-mêlé, au beau milieu de nulle part, avec ce foutu djinn sur les jambes. « Et tu crois qu'il faudrait quoi à cet idiot de jeune homme normal pour embrasser la jeune femme normale à qui il plaît bien ? »›››‹‹‹(…) terrible erreur mais j'imagine que personne n'a à savoir. Ce sera notre petit secret à nous – il en a convenu lui-même – et rien ne nous sera préjudiciable. N'est-ce pas mère elle-même qui m'a rabattu les oreilles avec ses stupides histoires de vrai et grand amour qui élève et rend heureuse ? (…) aux anges, Léonard est vraiment quelqu'un d'extraordinaire. J'ai l'impression de le connaître depuis toujours [les pages suivantes ont été rayées et/ou arrachées, le tout reste illisible pendant une longue période] (…) n'arrive pas à y croire et même si je suis triste, aucune larme ne coule. Où avais-je la tête ? Ce sang vicié qui coule dans ses veines est issu de son père ; je ne suis pas étonnée qu'il marche dans ses pas. (…) une énième fois et je suis fatiguée (…) C'est fini. ›››‹‹‹Diane en a marre. Diane ne parle pas beaucoup. Ou plutôt si, elle parle beaucoup. Trop. De tout et de n'importe quoi. Elle souffre de diarrhées verbales chroniques qui rendent à ses yeux tous les sujets possibles et imaginables, des sujets légitimes à toute conversation. Toujours là pour faire une petite remarque acerbe, un commentaire désobligeant, une blague pas très drôle, un discours enflammé sur la protection des salamandres. Mais jamais pour vous parler d'elle. Pour vous dire combien elle se sent seule malgré les gens aimants qui l'entourent ; pour raconter son enfance un peu mouvementée, entre ses crises contre l'autorité de ses parents et sa solitude imposée ; pour partager ses convictions intimes de royaliste jusqu'au bout des ongles ; pour confier ses sentiments les plus intimes, ses amours sacrifiés sur l'autel du devoir et de la décence ; pour s'exprimer sur ses peurs et ses envies et ses rêves et ses anecdotes idiotes de comment elle a découvert les dangers des voitures moldu"s. Il y a un million de choses qu'elle a envie que le monde sache ; et il a un milliard de choses qu'elle cache aux autres. Réflexe de défense. Et nouveau réflexe de défense quand Léonard pose sa main sur son bras pour l'empêcher de marcher plus loin de lui ; elle lève le bras et se défait de son emprise avec brusquerie, une certaine violence aussi, ses yeux bleus fusillant les orbes verdâtres de son ex petit ami. Il fronce les sourcils, sa main tente de rattraper son avant-bras mais elle recule complètement de trois pas. « Qu'est-ce que tu veux encore ? » siffle-t-elle, hostile et agressive tandis que sa main, toujours accrochée nerveusement autour de sa baguette, se met à trembler légèrement. Elle a la furieuse envie de lui faire ravaler son stupide visage à coup de sorts. Comment ai-je pu le trouver beau ?« Mais écoute-moi au moins ! Tente de me comprendre. » Elle se contenta de lever sa main droite, libre, tendant un index vers le ciel pour lui faire signe de se taire. « On a rien à se dire. » lâcha-t-elle au bout d'un long moment de silence, le fusillant toujours de son regard d'animal blessé. D'animal, de monstre d'orgueil blessé en plein dans sa fierté, ce petit point faible que tout le monde appelait cœur. Son doigt dressé vers le ciel oblique perpendiculairement pour venir se poser sur le cœur de Léonard avant de le repousser d'une secousse sèche et brusque, lui faisant faire un pas en arrière. « Ne pose plus jamais un doigt sur moi. » le prévient-elle avant que son bras ne retombe le long de son corps et qu'elle ne le contourne pour partir. Il pleut presque sur Orange, aujourd'hui et le mauvais temps a fait rentrer les gens chez eux – heureusement, pense Diane, que personne n'assiste à cette pathétique scène. Evidemment, Léonard, aussi électron libre qu'elle, attrape son poignet à la volée et le serre entre ses épais doigts, la tirant presque sèchement en arrière. « Diane-- » Sans même attendre un instant, la main de Diane s'abat sur sa joue qui prend aussitôt une teinte rouge. Il fronce les sourcils mais se fige. « Plus jamais , traître. » siffle-t-elle, les yeux assombris de colère avant de définitivement lui tourner le dos et partir loin de lui et de son horrible influence et de sa violence jalouse et possessive et de ses idéaux opposés aux siens et de son cœur qui se pétrifie dans sa poitrine. ›››‹‹‹(…) et je le déteste. Je ne regrette rien et ne regretterai jamais rien à son propos même si je ne peux m'empêcher d'être un peu amère que ça se finisse ainsi. Je m'étais félicitée qu'il soit meilleur que son père et que quiconque de son extraction mais apparemment, le vice est fort dans les sang impurs (…) Je crois qu'il me manque un peu quand même. (…) comme si on m'arrachait le cœur, qu'on me le congelait et qu'on me le redonnait en attendant que je dise merci. (…) Et si il avait raison ? Non, je ne peux pas penser ça. C'est ce qu'ils cherchent tous : ils veulent vicier les âmes et détruire les convictions en laissant s'insinuer le doute dans les cœurs les plus vaillants. (…) clair dans son jeu : c'est un piètre bluffeur et un pire menteur. (…) Je le déteste et lui ferai payer au centuple tout ce qu'il a osé dire sur Marien. - Citation :
- SALUT SALUT.
alors déjà, bah merci d'avoir cliqué sur ce lien. j'espère que vous avez lu le scénario et apprécié ce que vous avez vu, toussa toussa. parlons buisness maintenant. tout d'abord, le prénom est négociable. j'ai un peu mis léonard par défaut et par paresse - même si je dois avouer avoir un faible pour ce prénom - et si vous avez d'autres idées, n'hésitez pas. personnellement, je pencherai bien aussi pour priam, noé, steffon, gaspard, melchior, balthazar (les trois mages quoi. ), eliott, oscar, chuck norris ou que sais-je encore ! n'hésitez pas à emprunter dans les prénoms corses et italiens vu que, même si il a été élevé par sa mère, léo vient de là-bas. le nom de famille est tout aussi négociable. l'avatar, lui aussi, est négociable à l'envi (même si jamie + imogen : ). je vois bien anton yelchin ((x) (x)), alex pettyfer ((x) (x)) ou garrett hedlund ((x), (x)) dans le rôle mais n'hésitez surtout pas à proposer vos idées si ils vous sortent totalement par les yeux. l'histoire, quant à elle, est plutôt modulable à vos souhaits même si j'aimerais au moins garder le fait qu'il n'ait pas été élevé par et/ou avec son père et que celui-ci était et est un terroriste révolutionnaire. le reste est à votre convenance. bref, c'est un scénario très négociable quoi.
si vous avez la moindre question, suggestion, indécision ou juste l'envie irrépressible que je vous sexte ( ), n'hésitez pas à m'envoyer un mp. en espérant vous voir rapidement parmi nous ! :luv
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