|
| CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. | |
| Auteur | Message |
---|
Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Dim 20 Nov - 2:59 |
| les délégations étrangères « l'accueil des élèves étrangers »PRÉAMBULE« Nous sommes frères par la nature mais étrangers par l'éducation. »P our les plus jeunes, l'accueil de délégations étrangères au sein de l'Académie n'a rien d'original et, bien souvent, l'idée que des étudiants des quatre coins du monde viennent étudier à leurs côtés ne les tracasse nullement, bien au contraire, l'idée les enchante parfois. Ils sont modernes, sont ouverts vers le monde international. Et pour beaucoup de sorciers français, cet échange est tout simplement entré dans les mœurs au titre de coutume. Mais ces gens là ont oublié tout ce que signifiait cette alliance, tous les enjeux qui étaient les siens et toute la polémique dont elle a été sujette à sa naissance. De nombreux ouvrages le rappellent pourtant et il n'est alors guère difficile de se replonger dans le climat de l'époque : souvent fortunés, toujours avares et généralement charitables par accident, ils ont toujours existé, ici et là, partout, ces sorciers qui ne supportent pas ou plus de voir leur progéniture se confondre aux nés-moldus et aux moldus eux-mêmes. Alors, tapis dans l’ombre, les yeux rivés sur la France, ils attendent. Attendent probablement que sonne enfin l’heure de la revanche, l’heure de la gloire, attendent surtout que le monarque français daigne s’intéresser à leurs requêtes. Ce qu'il fit assurément le jour où, influencé par les ministres et les membres de la Cour qui voyaient d'un mauvais œil l'indépendance toujours intacte de l'Académie de magie, il imposa à Beauxbâtons et à Pernelle Flamel, encore directrice à cette époque, son idée d'accueillir chaque année une poignée de jeunes sorciers étrangers pour qu'ils fassent ou terminent leurs études en France. Nous sommes ici bien loin d’un acte altruiste du monarque envers ces aristocrates venus du monde entier : il s’agissait, et personne ne l’a jamais ignoré, d’une stratégie infaillible visant à préserver la pureté ethnique des sorciers. Il est évident, en effet, que si Beauxbâtons accueille ces étrangers, se plie en quatre pour organiser bals, réceptions, et autres réjouissances en leur honneur, et s’évertue à les intégrer à la culture française, c’est seulement dans le but de réunir « d’honnêtes » et dignes jeunes gens, pour ainsi préserver, et même enrichir, la magie au fil des générations. On avait toujours eu affaire à des alliances entre les familles, à des mariages arrangés, pour garantir la pureté de leur sang, et bien, les alliances internationales sont désormais assises. Aujourd'hui beaucoup de sorciers français, parmi les modernes et les tolérants, pensent que le but premier de la présence de délégations étrangères est révolu - et l'ouverture de Beauxbâtons à des sangs-mêlés étrangers les conforte dans cette idée - mais c'est un leurre car les conservateurs s'évertuent à perpétrer la tradition. LES ÉCOLES CHOISIES « Plus une découverte est originale, plus elle semble évidente par la suite. »
I l va de soi que les monarques sorciers ne s'entourent que des meilleurs, uniquement des meilleurs ! Ainsi, comment reconnaitre, parmi la multitude d'écoles existantes, les imposteurs des fidèles, les fallacieux des authentiques ? Avant même qu'on ne déclare solennellement l'alliance de Beauxbâtons avec quelques autres écoles de sorcellerie, les rumeurs allaient bon train et certains noms revenaient régulièrement dans les conversations. Aussi, le jour où le roi révéla l'identité des cinq écoles mises à l'honneur, nul ne fut surpris d'y retrouver les écoles anglaise et norvégienne, respectivement Poudlard et Durmstrang, mais ce fut, comme on peut aisément l'imaginer, une véritable claque d'apprendre que des pays comme l'Égypte ou la Grèce - ces barbares ! - puissent dorénavant être associés à la prestigieuse académie française. Évidemment, que des écoles comme Poudlard ou Durmstrang soient choisies ne fut en aucun cas une surprise, et en vérité, les anglais et les norvégiens comptaient sur cette nomination. Après tout, les trois écoles n'avaient-elles pas été de solides partenaires par le passé ? On peut penser, à juste titre d'ailleurs, qu'il s'agissait là d'une volonté de prospérer leur vieille tradition, qui les réunissait autrefois à l'occasion du célèbre Tournoi des trois sorciers. C'était en tout cas la volonté première de Pernelle Flamel, difficile de dire si c'était également celle du monarque. Entendons bien toutefois que ces deux écoles possédaient attraits et charmes dont d'autres étaient dépourvus : la noblesse française aime chez les norvégiens cette intransigeance, cette sévérité, jamais ébranlée au fil du temps, quant à la pureté du sang de leurs élèves. Qui, n'importe où dans le monde, ignore que Durmstrang a toujours proscrit les sorciers nés-moldus ? Quant aux anglais, c'est ce sens de l'humour hautement sarcastique et si particulier dont les français manquent cruellement, leur façon d'être « politiquement corrects » ainsi que leur dynamisme qui enchantent l'Hexagone. En ce qui concerne Olympie et Khéops, leur entrée dans le jeu fut bien plus polémique, bien plus controversée, et donc bien plus complexe. En réalité, ce fut une des rares fois de l'Histoire où la Cour elle-même se dressa contre son monarque, jugeant qu'il s'agissait d'une aberration que d'offrir la confiance de la couronne à de tels bandits, à de tels imposteurs. Le roi y fit face de manière laconique et laissa ses sujets les plus récalcitrants pantois en leur demandant s'ils craignaient là de voir leurs enfants éclipsés par la présence de jeunes virtuoses étrangers et si, de fait, ils ne croyaient plus en la grandeur française. Mais, quoi qu'il ou quoi qu'il fasse, le roi fut ébranlé par ce soulèvement, ne s'attendant guère à ce que quiconque puisse venir s'opposer à ses choix, puisse ne pas aimer ce que lui même appréciait, or il avait toujours été profondément passionné par la magie ancienne, par son histoire et par son évolution dans les différents endroits du monde. Vous comprendrez donc aisément que ce ne fut pas un coup du destin s'il choisit l'Égypte et la Grèce, outre le fait qu'elles soient de prestigieuses écoles, elles reprensentent les deux pays qui auraient vu naitre la sorcellerie. Pour lui, c'était une raison amplement suffisante pour justifier la présence de leurs étudiants à Beauxbâtons. Enfin, il y eut Salem, l'école américaine et la dernière sélectionnée de la liste. Elle ne fut pas réellement sujette aux contestations, mais elle éveilla toutefois curiosité et gentilles railleries. On n'avait, semble-t-il, jamais vu jusqu'alors sorciers si extravagants, si farfelus, mais, admettons-le, si bons vivants. La petite anecdote veut que les tenues du directeur étaient tout à fait hors du commun, presque grotesques, et ce n'était là que l'illustration de la grande ouverture d'esprit du personnage et plus généralement de l'image de l'école. Quoiqu'il en soit, les sorciers et sorcières de Salem ne manquèrent pas d'apporter à Beauxbâtons une touche de frivolité qui agacent fortement les plus conservateurs, d'hier comme d'aujourd'hui... LA SÉLECTION DES ÉLÈVES « Appartenir à l'élite, cela ne dépend pas de la fonction, mais du caractère, de la valeur spirituelle de l'homme. »
O h bien sûr, même s'ils en rêvent, tous les élèves de ces écoles étrangères ne peuvent tous être invités à Beauxbâtons. Encore une fois, l'académie ne s'entiche que de l'élite, de l'excellence, et l'étudiant doit ainsi remplir certaines conditions. En premier lieu, il doit être issu d'une famille respectable, c'est-à-dire dont le sang est jugé pur (il y a des dérogations, de plus en plus fréquentes) et qui ont une certaine renommée mondiale. Comme la nature fait bien les choses, il se trouve que ces familles sont généralement celles qui roulent sur l’or, et cette disposition entre aussi dans les conditions requises, encore que ce ne soit pas la plus importante. En second lieu, l’élève doit être brillant et faire partie des plus doués de son école. A cet effet, des ambassadeurs français du Ministère de l’Éducation et de la Culture sont envoyés et ont pour mission de suivre le développement des enfants depuis leurs onze ans dans les familles repérées : leurs notes s'ils sont déjà scolarisés (l'âge d'entrée différant d'une école à une autre), leur comportement, l’évolution de leurs forces et capacités magiques, et ce jusqu'à leurs quinze ans. Ainsi, pendant l’été de cette quinzième année, quatre des plus remarquables élèves sont sélectionnés dans chacune des cinq écoles, deux filles, et deux garçons, et une lettre d’inscription – la même, à quelques différences près, que celle que reçoivent les français à leurs onze ans – est envoyée dans leurs familles et ils sont invités à poursuivre voire pour certains débuter leurs études à Beauxbâtons. L’ARRIVÉE A L’ACADÉMIE « L'approche est toujours plus belle que l'arrivée. »
S' ils acceptent l'invitation - et ils l'acceptent - les jeunes étrangers sont amenés à Beauxbâtons par les véhicules dont disposent leurs écoles précisément cinq jours après la rentrée officielle, offrant ainsi une véritable cérémonie « m'as-tu-vu » et permettant de bien différencier les étrangers des français. Ils sont répartis dans un écrin au même titre que les français et un deuxième banquet, en leur honneur, est organisé. La répartition dans les écrins a l'avantage de leur procurer un dortoir, un emploi du temps et de les intégrer, du moins essayer, aux habitants de l'académie. En effet, leur insertion n'est pas toujours facile, au grand damne des pro-échanges mais aussi des plus fervents royalistes qui voudraient voir des liens se nouer entre les plus prestigieuses familles du monde et les français. C'est que ces individus sont parfois considérés comme d'affables rivaux et les élèves de Beauxbâtons ont tendance à s'en méfier au point de les écarter implicitement. Mais après tout, ils ont bien raison d'être aux aguets : ils ont là affaire aux meilleurs élèves sélectionnés à travers le monde. Les élèves des délégations étrangères sont alors invités à suivre les cours normaux mais pendant l'année sont organisés quelques évènements à Beauxbâtons et à Chantilly en leur honneur, pour leur intégration mais également pour forcer le destin même si les étudiants français apprécient peu de se voir voler la vedette. Le port de l'uniforme de Beauxbâtons est exigé pour les étudiants des délégations étrangères.
Dernière édition par Ad Astra le Lun 12 Mar - 18:47, édité 2 fois |
| | | Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Mer 7 Mar - 16:07 |
| l'école de sorcellerie Poudlard « royaume-uni »PRÉSENTATION« On ne chatouille pas un dragon qui dort. »Ϟ Armoiries : Le blason de Poudlard est divisé en quatre parties, chaque partie représentant une des maisons du collège écossais. En haut à gauche se trouve le lion sur fond rouge, en haut à droite un serpent sur fond vert, en bas à gauche un blaireau sur fond jaune et, enfin, en bas à droite un aigle sur fond bleu. Ϟ Localisation : Poudlard est situé dans les Highlands en pleine campagne écossaise. Il n'y a rien aux alentours, si ce n'est un petit village peuplé uniquement de sorciers et nommé Pré-au-Lard. Pour s'y rendre, les étudiants prennent le train depuis Londres. Ϟ Scolarité : Les élèves entrent à onze ans et ressortent à dix-sept, après sept ans d'études. Ϟ Description : L'école ayant été bâtie durant le moyen-âge à l'époque où les sorciers étaient persécutés par les moldus, les célèbres fondateurs de Poudlard ont pris soin de protéger cette dernière des yeux des moldus. En effet, de nombreux charmes et sortilèges de protection et de dissimulation font qu'il est impossible pour un moldu de la localiser. À sa place, les moldus ne voient que des ruines accompagnées d'avertissements de danger. Le château est imposant et inquiétant, mystérieux également, avec de nombreuses fenêtres, des tours vertigineuses et des escaliers indomptables. Il possède un vaste parc avec des pelouses en pente, des massifs de fleurs et potagers, un lac, une grande forêt « interdite », un certain nombre de serres et autres dépendances, et un terrain de Quidditch. Ϟ Spécialité magique : Les étudiants de Poudlard sont connus pour être de très fervents joueurs de quidditch, sport dans lequel ils excellent, cependant c'est surtout pour leur polyvalence que les sorciers britanniques sont admirés dans le monde entier. En effet, Poudlard n'a pas une spécialité mais propose un enseignement complet et varié qui permet de ne fermer aucune porte aux étudiants même à la fin de leurs études. Ils sauront, à coup sûr, surprendre les français de Beauxbâtons et peut-être même s'en faire apprécier ... malgré leur humour si fameusement sarcastique. Ϟ Direction actuelle : Minerva McGonagall.
Dernière édition par Ad Astra le Lun 12 Mar - 18:13, édité 4 fois |
| | | Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Mer 7 Mar - 16:08 |
| l'institut de sorcellerie Durmstrang « norvège »PRÉSENTATION« Qui fait du tort à un seul en menace beaucoup. »Ϟ Armoiries : Le blason traditionnel de Durmstrang représente un dragon argenté crachant du feu et coiffé d'une couronne elle aussi d'argent. La créature se dessine sur un fond rouge sang, couleur que l'on retrouve d'ailleurs sur les uniformes des jeunes étudiants. Ϟ Localisation : Au nord de la Norvège, dans une immense forêt perdue entre Vardø et la frontière russe. La vie y est si rude, si difficile, et l'hiver si froid, qu'il est difficile d'y vivre confortablement pour un moldu, évidemment, pour un sorcier, il en va tout autrement. Ϟ Scolarité : Les élèves y entrent pour la première fois à onze ans et leur scolarité se termine au bout de neuf ans d'études. Ils passent leurs examens à la septième et neuvième années. Ϟ Description : C'est une forteresse, de taille modeste en apparence, que personne n'a pris le soin de protéger des yeux des moldus. En réalité, c'est que l'école se situe au fin fond d'une immense et sombre forêt, sans compter qu'un véritable lac entoure les fortifications, ainsi, il est tout bonnement impossible qu'un être dépourvu de dons magiques puisse parvenir en ces lieux. Extérieurement, l'institut est plutôt impressionnant, voire même inquiétant avec ses tours menaçantes, mais lorsqu'on en franchit le seuil, la citrouille devient carrosse, et la forteresse se revêt d'élégance et de confort, on y trouve de magnifiques feux de cheminée dans tous les couloirs et deçà, delà, de moelleux fauteuils assortis de bibliothèques. Ainsi, contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est un endroit fort chaleureux, et, preuve à l'appui, pour rien au monde un étudiant de Durmstrang n'échangerait son école contre celle de ces farfelus britanniques de Poudlard. Ϟ Spécialité magique : Outre le fait qu'ils soient, pour la plupart, de grands athlètes, les étudiants de Durmstrang sont tout autant connus pour leur initiation à la magie noire. Quelle autre école, en Europe tout au moins, offre aux jeunes sorciers l'étude de cet art si délicat, si subtil, et si dangereux entre des mains insidieuses ? Ne cherchez plus, il n'y en a pas. Ϟ Direction actuelle : Sofia Jørgensen.
Dernière édition par Ad Astra le Jeu 8 Mar - 10:57, édité 3 fois |
| | | Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Mer 7 Mar - 16:09 |
| le conservatoire des sorcières de Salem « états-unis »PRÉSENTATION« À trop parler, on en oublie de manger. »Ϟ Armoiries : Un chat noir jouant de la harpe sur un fond oscillant entre lilas et gris rosé, selon les versions. On aurait pu croire que l'école américaine se doterait d'un symbole souvenir du tristement célèbre procès des sorcières de Salem, mais il n'en est rien : les créatrices du conservatoire ont préféré choisir le chat, ce fidèle animal de compagnie qui accompagne, plus qu'ailleurs, les sorciers de Salem depuis le début, quant à la harpe, c'est bien sûr parce qu'on ne peut songer à cette grande académie sans y associer leur maitrise parfaite de la musique. Ϟ Localisation : Dans une ville des États-Unis que les moldus appellent désormais Danvers (Massachusetts) mais que les sorciers persistent à désigner par son nom d'origine, Salem Village. Il y a d'ailleurs un quartier replié, à quelques centaines de mètres du conservatoire, où ne vivent que des sorciers et où aucun moldu n'oserait s'aventurer : c'est le lieu de pèlerinage sacré de sorciers venus de part et d'autre du monde et l'on raconte de drôles d'histoires sur des moldus un peu trop curieux qui y auraient mis les pieds. Ϟ Scolarité : Comme à Beauxbâtons, les étudiants entrent à quinze ans au conservatoire et en sortent normalement à vingt-trois, après huit années de scolarité. Ϟ Description : Extravagance, grandeur, fantaisie, couleur, semblent avoir été les mots maitres lors de la conception de l'école. Tenu secret des moldus trop curieux par un puissant enchantement de dissimulation, le conservatoire est un véritable hymne à l'architecture russe d'inspiration orientale. C'est ainsi que les tours et courbes du château se dessinent en de parfaites figures géométriques, cercles et carrés notamment. D'autre part, l'architecte a voulu répondre aux envies abracadabrantes et rocambolesques des premières directrices : c'est de cette façon là que ce sont ajoutées les couleurs criardes - rouge, blanc, bleu, rose - du bâtiment. Bien entendu, l'intérieur du conservatoire regorge tout autant de raffinement, de subtilité et de bon goût. Partout, on trouve de charmantes décorations, plus ou moins surprenantes, qui feraient presque oublier que l'on se trouve dans une école. Ϟ Spécialité magique : Oh bien sûr, la rumeur selon laquelle les étudiants de Salem auraient un don pour communiquer, ou tout au moins pour se faire comprendre, avec les chats est infondée. Mais si tel est vraiment le cas, ce n'est certainement pas pour cela qu'on se souviendra de Salem comme l'une des meilleures écoles de sorcellerie au monde. Sachez que ce sont d'excellents sorciers, très habiles de leurs mains, très astucieux, connus pour leur très grande dextérité : ils sont très doués en sortilèges et excellent en métamorphose. Peut-être cette aisance est-elle due à leur initiation aux arts du spectacle, à savoir la musique, le chant et la danse... Si vous vous en montrez dignes, les invités de Salem feront, peut-être, une démonstration pour le bal de Noël. Peut-être. Ϟ Direction actuelle : Soleen McMahoy.
Dernière édition par Ad Astra le Jeu 8 Mar - 11:08, édité 6 fois |
| | | Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Mer 7 Mar - 16:09 |
| la pension des sorts et incantations Khéops « égypte »PRÉSENTATION« Fatigue ton corps mais ne fatigue pas ton cœur. »Ϟ Armoiries : Dans les armoiries de Khéops, l'aigle de Saladin soutient un écusson - tout comme sur les armoiries égyptiennes moldues - à la différence que cet écusson ne ressemble pas au drapeau égyptien mais, sur un fond bleu turquoise, représente trois baguettes croisées : la première lance une boule de feu, la deuxième une boule de glace et la dernière déchaine les vents : elle lance quelque chose que l'on peut interpréter comme une tornade. C'est le contrôle des éléments. Ϟ Localisation : Sur le plateau de Gizeh, un environnement sec, salubre et désertique qui rend parfois la vie rude : ceux qui n'y sont pas habitués déclarent mal respirer, vivre dans la poussière, mourir de chaleur et de soif... Ainsi, l'été comme l'hiver restent chauds mais, le Nil n'étant pas loin, il est bon de s'attarder sur les rives du fleuve, qui, étrangement, ne connait pas - ou peu - la sécheresse. Ϟ Scolarité : Les étudiants entrent à la pension à quatorze ans et y étudient sept ans. Ils obtiennent leur unique diplôme lors de la dernière année, à vingt et un ans. Ϟ Description : Il faut tout d'abord noter que la pension se nomme, en réalité, Khéops II, mais que plus personne aujourd'hui ne se soucie de remédier à l'abus de langage que l'on a pu en faire. Cette école a été construite en hommage aux pyramides de Gizeh, mais, contrairement à ce que peuvent penser les moldus, c'est bel et bien une main de sorcier qui a orchestré la construction de tels édifices. La pyramide Kheops II, la pension, donc, ressemble comme deux gouttes d'eau à sa jumelle, mêmes proportions, mêmes dimensions, excepté qu'elle est, bien sûr, invisible aux yeux des moldus. Il est tout autant évident que Khéops II ne renferme pas le tombeau d'un grand pharaon d'Égypte, mais un étonnant - et magnifique - lieu d'enrichissement intellectuel, théorique et pratique. L'école s'enfonce ainsi dans d'innombrables dédales de souterrains dans lesquels on ne peut manquer les nombreux ornements, bijoux et autres luxures qui reflètent la richesse et le confort qu'offre la pension. Croyez-le ou non, les égyptiens n'ont pas à languir de leur école et n'ont, surtout, rien à envier à nos écoles occidentales. Lorsqu'on demande, à ceux qui sont allés et à Beauxbâtons, et à Khéops, de comparer les bibliothèques des deux écoles, leur réponse est sans appel : la bibliothèque de Khéops est la plus grande du monde, elle fourmille, notamment, en manuscrits, grimoires et textes anciens qui n'existent qu'en un seul exemplaire. Ϟ Spécialité magique : Peut-on, même en étant sorcier qualifié, guérir une profonde blessure, extérieure ou, d'ailleurs, intérieure, d'un simple geste de la main au dessus de la zone douloureuse ? Difficile à dire, pourtant, c'est ce que revendiquent les sorciers de Khéops, ils seraient, en effet, d'excellents médicomages et possèderaient des dons innés en la matière et c'est pourquoi un enseignement obligatoire est proposé à tous les élèves dès leur plus jeune âge. Il coulerait, ainsi, dans les veines des sorciers égyptiens, une prédisposition à la médicomagie que ne possèderaient pas les européens. Cette faculté n'est d'ailleurs pas sans lien avec l'usage des incantations, dont les égyptiens sont friands, tandis que nous ne connaissons que peu la portée magique de cet art. D'autre part, vous feriez mieux de vous garder d'importuner ces jeunes gens, qui, le croit-on, connaitraient les secrets de fabrication des poupées vaudou. Enfin, il semblerait que les égyptiens soient des sorciers très superstitieux et on leur assimile toutes sortes d'amulettes magiques dont les pouvoirs seraient non seulement variés, mais surtout, éloquents. Ϟ Direction actuelle : Imhotep Emhebe.
Dernière édition par Ad Astra le Jeu 8 Mar - 11:07, édité 8 fois |
| | | Admin
Ad Astra ◗ HIBOUX : 491 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Maitresse du Jeu ◗ CREDITS : (c) regina.
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. Mer 7 Mar - 16:09 |
| la faculté d'enseignement magique Olympie « grèce »PRÉSENTATION« La roue qui tourne ne rouille pas. »Ϟ Armoiries : Tantôt brodé sur les uniformes des étudiants, tantôt gravé sur les argenteries de l'école, on trouve l'écusson d'Olympie sur tout objet y ayant trait, que ce soit de près ou de loin. Il s'agit ni plus ni moins d'un serpent auréolé d'une couronne de lauriers, le tout sur un fond doré. Ϟ Localisation : En plein cœur de la plus haute montagne de Grèce, c'est à dire le mont Olympe s'étend au nord de la Grèce près de la côte Égéenne, à la limite de la Macédoine. L'environnement est plutôt agréable, à raison d'un climat et d'une végétation montagnarde. Toutefois, l'hiver, le mont, et l'école avec lui, revêt son habit blanc neige et rend les déplacements plus difficiles... Mais, pour un sorcier, rien n'est impossible... Ϟ Scolarité : Les étudiants entrent à la faculté à onze ans et ont la possibilité d'y étudier une quinzaine d'années s'ils veulent faire de longues études. Ils passent des diplômes à leur cinquième année, à leur septième, à leur dixième et à leur quinzième année. Ϟ Description : Si elle porte le nom d'un célèbre sanctuaire grec, Olympie n'y est en rien associée. En effet, elle doit son nom au mont Olympe et seulement à ce dernier. Le château, d'architecture typiquement gothique, est bâti, selon la légende « à la limite du ciel ». Mythe ou réalité ? On ne saurait se hasarder, connaissant la personnalité chatouilleuse des grecs, sur le chemin des suppositions. Ce qui est certain, c'est que le château domine le paysage et la vue en haut des tours est scandaleusement merveilleuse. Bien évidemment, les moldus ignorent l'existence du chef d'œuvre d'architecture qu'est la faculté d'Olympie, mais, à la différence de la plupart des écoles de sorcellerie, il ne suffit pas non plus d'être un sorcier pour être capable de la voir. En effet, seuls les individus expressément invités peuvent voir et pénétrer dans l'enceinte de l'école. Celle-ci, scellée par un sort que les européens occidentaux ne connaissent pas, est mieux protégée qu'une forteresse. L'intérieur du château, quant à lui, est à la fois somptueux et sombre. Aussi étrange soit-il, il suffit d'une brève œillade sur l'aménagement des lieux ou sur le mobilier pour sentir - et ressentir - la puissance, la grandeur et la noblesse de l'école. Toutefois, on ne peut, non plus, manquer de remarquer l'absence de brillant, de lumière, de couleur, qui rendraient peut être l'endroit plus chaleureux, sinon moins sinistre. Ϟ Spécialité magique : Que les français se gardent bien d'ennuyer les grecs d'Olympie. On les dit, en effet, impérieux et impitoyables. Quant à leur jugement, il serait non seulement irrévocable mais en plus de cela, sévère... C'est que les grecs ont un profond sens de la justice et de la trahison, assorti d'une parfaite maitrise des potions, tout particulièrement des poisons. Les grecs, sans foi, ni loi ? Vous le saurez bien assez tôt. Les grecs sont également, et bien évidemment, de grands spécialistes de la mythologie grecque et connaissent nombre de légendes dont beaucoup de français n'ont jamais entendu parler... Ϟ Direction actuelle : Tobias Rovértos.
|
| | |
| Sujet: Re: CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. |
| |
| | | | CHAPITRE 3 : les délégations étrangères. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |