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 CHAPITRE 2 : la monarchie.

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MessageSujet: CHAPITRE 2 : la monarchie.   CHAPITRE 2 : la monarchie. EmptyLun 6 Fév - 15:55


la monarchie
« Le roi est mort, vive le roi. »


LE TITRE DE DUC, DE DUCHESSE
Liées entre elles par des siècles d'alliances et d'hyménées, les familles ducales sont les rares familles de sorciers dont la lignée de sang pur a survécu depuis le moyen-âge. D'où leurs prestige et privilèges. Ces familles sont au nombre de douze exactement (treize si on compte la famille royale) et pour maintenir la pureté de leur sang, elles n'hésitent en effet pas à arranger des mariage entre leurs enfants. Les plus ouvertes et modernes d'entre elles s'allient à des familles pures étrangères mais la plupart préfèrent rester dans l'horizon français, estimant que leur honneur est en jeu.
Ce sont les douze familles en haut de l'échelle sociale qui, chacune, forment une Maison de France, au sens de maison dynastique et ont de lourdes responsabilités politiques : non seulement elles dirigent - tout en restant vassales du roi - leurs duchés respectifs mais on retrouve très souvent nombre des membres de ces familles aux hautes fonctions du Magistral.

Depuis quelques années maintenant, ces familles dénient l'appellation "sang pur" et se font plutôt appeler les sangs bleus pour mieux se distinguer des familles au sang souillé anoblies depuis le XVIIIième siècle dont on dit le sang pur sous prétexte qu'ils descendent de sorciers depuis plusieurs générations. Les familles ducales, elles, ont vécu cette vague d'anoblissements comme une offense, comme un outrage à leur honneur, à leur sang, à leur dignité ainsi qu'à leurs privilèges.

Il existe par ailleurs une loi, née du célèbre édit d'Avallon du 18 septembre 1649, qui vient limiter et brimer la liberté des ducs et duchesses. Car, en effet, si de nombreuses dérogations et exceptions à la loi peuvent être observées en faveur des Maisons de France et donnent une impression de toute puissance loin d'être infondée, les familles ducales ont pourtant une épée de Damoclès pesant au dessus de leur tête, menaçant chacun de leurs membres du début à la fin de leur vie : il est dit que le très honorifique titre de duc peut être repris à tout moment par la Maison Royale dès l'instant où la preuve est établie que le tenant du titre n'est pas de sang pur. En outre, cette même loi interdit aux ducs et aux duchesses de désigner un héritier au titre dont le sang serait impur. Ainsi, il est évident qu'aucun duc ou duchesse n'a de sang mélangé à celui de créatures magiques, hybrides (vélane, etc.)
Parant à toute éventualité, le législateur a même cru bon d'ajouter "Cette règle ne peut souffrir d'aucune exception."


LE TITRE DE COMTE, DE COMTESSE
Deuxième dans l'ordre hiérarchique de la noblesse, les sorciers portant le titre de comte ou de comtesse sont généralement des cousins, plus ou moins proches, des familles ducales puisqu'à l'origine les comtés ont été créé pour les branches des familles ducales qui ne pouvaient hériter du titre ducal.

Beaucoup de comtés, et donc de familles comtales, sont également apparus après le XVIIIième siècle, suite à la vague d'anoblissements décidée par le monarque de l'époque. Ces familles, dont le sang est considéré pur puisqu'il ne coule dans leurs veines que du sang sorcier depuis au moins le XVIIIième siècle, s'entendent généralement mal avec les familles ducales qui les méprisent mais également avec les comtes dont le titre provient de la proximité des liens de familles avec les Grandes Maisons.

Les comtes et comtesses sont à la tête de comtés, fiefs directement divisés des duchés dont ils sont les vassaux, qui eux-mêmes peuvent être divisés en vicomtés ou en baronnies sur lesquels les comtes sont souverains.


LE TITRE DE VICOMTE, DE VICOMTESSE
Troisième titre dans la hiérarchie nobiliaire (après les titres de duc et de comte), le titre de vicomte est avant toute chose né de la pratique même s'il a très rapidement été officialisé. Initialement en effet, il arrivait très fréquemment qu'un comte, ne sachant quel enfant favoriser ou désirant tous les récompenser, divise son comté en autant de vicomtés qu'il avait de fils et de filles pour les attribuer à chacun d'eux. Dès lors vicomte devint un titre de noblesse dont les titulaires sont propriétaires de vicomtés.
Le titre se transmet héréditairement, tout comme les vicomtés y étant rattachées mais il peut également arriver, quoique rarement, que le monarque décide d'ériger une baronnie importante en vicomté.
Les familles vicomtales comptent autant de sang-purs que de sang-mêlés.


LE TITRE DE BARON, DE BARONNE
Quatrième titre dans l'ordre nobiliaire, les barons et baronnes sont les propriétaires de baronnies, les plus petits fiefs existant dans la monarchie sorcière.
Ce sont souvent des membres éloignés des familles ducales dont ils partagent un ancêtre commun. Les barons et les baronnes sont presque intégralement des sang-mêlés même si quelques familles ont réussi à maintenir une pureté de sang sorcier au fil des générations depuis le XVIIIième siècle ce qui leur donnent aujourd'hui droit à être appelés sang-purs.


LE TITRE DE CAVALIER, DE CAVALIÈRE
Particulier au monde magique, le titre de cavalier et de cavalière est une dignité accordée par le roi à des sorciers méritants venus de tous horizons. Roturiers d'origine, les cavaliers sont en effet des sorciers ayant été anoblis pour service rendu ou pour loyauté ou pour toute autre raison particulière et personnelle à chacun d'eux car, effectivement, le titre de cavalier est personnel à chaque individu. Aucunes terres particulières ne leur sont attribuées mais, en revanche, ce titre honorifique leur procure des privilèges que le commun des mortels n'a pas : paraitre à la Cour ou encore être invité à diner avec la famille royale, entre autres exemples.
De plus, contrairement aux autres titres nobiliaires, le titre de cavalier et de cavalière n'est pas héréditaire. En pratique toutefois, il arrive souvent que, par jeu de pouvoir et d'influence, certaines familles voient leurs enfants anoblis de génération en génération, de manière automatique, dès leur naissance. C'est ce qui explique que de très jeunes sorciers - trop jeunes pour s'être déjà illustrés auprès du monarque - portent pourtant ce titre honorifique.


LES ÉVINCÉS
Ce sont d'anciennes familles titrées qui ont été destituées, jetées au plus bas de l'échelle sociale après s'être attirées les foudres de la noblesse ou des grands de ce monde. Trahison, déshonneur, scandale, opprobre, etc. sont des motifs parmi d'autres d'éviction. Quoiqu'il en soit, pour les nobles comme pour le commun des mortels, l'éviction est sans doute la pire des déchéances, la pire chose qu'il puisse arriver à une famille car s'il est déjà difficile d'entrer dans la noblesse, il est plus difficile encore de la reconquérir. Quant à trouver une place digne de leur ancien rang parmi les roturiers, ce n'est pas chose aisée non plus.


LES ROTURIERS
Les roturiers sont les sorciers non nobles, c'est-à-dire les plus nombreux en France. Ils représentent la diversité sorcière, viennent de tous les horizons et sont ainsi aussi bien des sang-mêlés que des nés-moldus voire même des sang-purs (même si ces derniers sont le plus souvent titrés). Ils roulent sur l'or ou vivent plus modestement, sont d'origine française ou immigrée. Certains idéalisent la monarchie, d'autres forment un embryon révolutionnaire. " Il y en a pour tous les goûts " a pu écrire à ce sujet une plume anonyme et acérée du XXième siècle.
Leur seul point commun à tous est de n'avoir aucun titre de noblesse. Et, ainsi, tous les sorciers n'ayant aucun titre sont rangés dans cette vaste catégorie copieusement méprisée de la noblesse toute entière.


Dernière édition par Ad Astra le Ven 29 Juin - 17:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: CHAPITRE 2 : la monarchie.   CHAPITRE 2 : la monarchie. EmptyVen 29 Juin - 17:22


la famille royale



LES LEBLOIS
« Citius, altius, fortius »



(à afficher en grand pour une meilleure visibilité)


ARMES


De sang au dragon d'or.

Leur devise est « Citius, altius, fortius », plus loin, plus haut, plus vaillamment.
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MessageSujet: Re: CHAPITRE 2 : la monarchie.   CHAPITRE 2 : la monarchie. EmptyVen 29 Juin - 17:23



les douze familles ducales





NB : Veillez bien à consulter les registres (lien) pour voir les disponibilités des personnages de ces familles. Les listes ne sont ici pas mises à jour.


MAISON LA JOUVENCE
« Âpre à faillir »
Leur blason est un sanglier sur un fond rouge pourpre. Cet emblème caractérise merveilleusement bien la famille La Jouvence puisqu’ils se sont toujours vaillamment combattus contre les envahisseurs qui aspiraient à conquérir leur fief. Chaque génération La Jouvence est connue pour son fort caractère, et cette détermination sans faille. Fief sans doute le plus puissant de toutes les provinces (après les Desclève), ils sont extrêmement glorieux et populaires en France. C'est pourquoi le roi – et ses prédécesseurs avant lui – fait souvent appel à eux pour résoudre les affaires délicates de la monarchie.
On entend dire ici et là que les La Jouvence lavent le linge sale de la famille royale et garde ses squelettes dans leurs placards depuis des siècles. Et, là-bas à la Cours des Millards, certains donneraient cher pour connaître les secrets des rois de France si jalousement, si fidèlement, gardés par la Maison La Jouvence...

La famille est composée de quatre fils qui peuvent prétendre au titre de duc d’Aquitaine, mais également d’une fille illégitime, Capucine Vieulles dont personne – même pas l’actuel duc – n’a connaissance de l’existence, mais qui viendrait à bouleverser l’équilibre précaire des La Jouvence. Les quatre fils se livrent en effet une véritable guerre froide afin d'hériter du titre de duc d’Aquitaine, le père n’ayant pas encore choisi son successeur.

- 1ère Branche, Le duc d'Aquitaine Charles La Jouvence & la comtesse Pénélope de Boisbleau, soeur du duc du Poitou : quatre fils (22 ans, 21 ans, 18 ans, 27 ans).
- Branche bâtarde, Le duc d'Aquitaine Charles La Jouvence et Prudence Vieulles, roturière : une fille illégitime, Capucine Vieulles (22 ans).




MAISON BUFFENOIR
« Honori Fidelis »
Famille désargentée autant qu'il est possible, les Buffenoir n'ont plus que leur nom, leurs terres et leur honneur pour toute fortune. C'est en effet à l'époque de Abdon Buffenoir, arrière grand-père de Réjean Buffenoir, actuel duc d'Auvergne, que cette illustre famille a fait faillite, faillite si terrible à vrai dire qu'elle n'a jamais pu s'en relever. En attestent les vieux pulls, toujours les mêmes, sur les dos des enfants Buffenoir : de très bonne facture au départ mais désormais troués et rapiécés de tous les côtés parce qu'ayant déjà connu plusieurs générations.
Les Buffenoir pourtant ne sont pas sans richesses, ils possèdent en effet des choses inestimables, mais justement tant inestimables à leurs yeux qu'il est pour eux tout simplement impossible de s'en séparer. Ainsi en est-il de ces bijoux et artéfacts datant du moyen-âge qui se transmettent de Buffenoir en Buffenoir depuis des temps immémoriaux, de leur magnifique château auvergnat où vit toujours la famille même si seule une petite partie des lieux demeure entretenue ou encore de cette magnifique robe de soirée dont la légende veut qu'elle ait été cousue de fil d'or par Mélusine elle-même et que les dames Buffenoir gardent amoureusement dans un coffre quelque part - elles seules savent où - dans le château.
Il faut dire que les Buffenoir sont une famille avec un sens de l'honneur irréprochable voire, selon les dires de certains, poussé à l'extrême lorsque certains de ses membres se laissent aller à l'arrogance, à la superbe ou à l'orgueil... autant de comportements souvent jugés décalés par rapport à leur nécessiteuse condition. Mais les Buffenoir sont également très attachés à leur histoire, à leur gloire passée : leur loyauté envers la couronne et le respect de celle-ci à leur égard sont leur unique bouée de sauvetage, à laquelle ils se raccrochent désespérément pour compenser, pour oublier et faire oublier qu'ils sont fauchés comme les blés.

Leur devise, « Honori Fidelis » , fidèles à l'honneur,résume bien l'état d'esprit des Buffenoir. Cependant, leur résonance auprès des autres familles ducales (et de la noblesse en général) reste par conséquent mitigée : certains les méprisent pour leur misère, leur pauvre condition, d'autres les admirent au contraire pour leur droiture et leur fidélité. Leur blason est un hérisson sur fond bleu et un haut d'hermine.

La fille aînée de Réjéan Buffenoir héritera du duché après le décès de ce dernier.

- Branche principale, le duc d'Auvergne Réjéan Buffenoir & la comtesse Emmanuelle de Rouvière, nièce du duc du Languedoc : un fils (22 ans), deux filles (20 ans, 32 ans).
- Branche cadette, la soeur de Réjéan la comtesse Valérie Buffenoir & Claude Desfontaines, un comte d'Aquitaine : deux filles jumelles Desfontaines (17 ans), et un fils illégitime (Alistair Adhémar)



MAISON DE MONTBRISEUL
« Invictus »
Réald de Montbriseul est un des généalogistes les plus reconnus de son époque. On lui doit de nombreux ouvrages d'une extrême précision quant aux arbres généalogiques des Maisons de France. Aussi, ne vous avisez jamais de dire à un Montbriseul que vos ancêtres étaient nobles, s'ils ne l'étaient pas, vous ne parviendrez qu'à vous ridiculiser. Les Montbriseul sont connus pour être fermés, pour fonctionner en clan: leurs alliances sont soigneusement étudiées, tout est calculé avec intelligente et demi-mesure pour ne tomber ni dans l'oubli ni dans la disgrâce. Une méthode efficace, puisque la Maison reçoit les hommages de la royauté depuis sa formation. L'allégeance de la famille au monarque est intellectuelle, discrète et solide: ils se montrent présents dès qu'on a besoin d'eux mais savent comment ne pas s'imposer - contrairement à beaucoup de familles qu'on sent affamées de pouvoir. Leur devise, « invictus », n'est pas inscrite de façon visible à l'entrée de leur château ou sur leurs vêtements, au contraire: ce mot puissant se murmure, se fond dans les conversations, c'est à croire que tout ce qui ne tue pas Montbriseul le rend plus fort.

Réald et Cervanne de Montbriseul ont quatre enfants: trois fils robustes et une fille plus jeune. L'un de ses fils, Matthieu de Montbriseul, prendra la succession de son père en tant que chef de Duché.

- Branche principale, le duc de Bourgogne Réald de Montbriseul & Cervanne Lesange, une comtesse de la Loire : trois fils (32 ans, 35 ans, 40 ans), une fille (30 ans).
- Branche cadette, la comtesse Garance de Montbriseul, soeur de Réald : une fille de Montbriseul adoptée (16 ans)
- Branche cadette, le comte Abelin de Montbriseul, frère de Réald, & Alexandrine Quetrebône, soeur de la duchesse de Bretagne : un fils de Montbriseul (28 ans).




MAISON QUETREBÔNE
« j’attends, je prétends et j'espère en tout temps »
La Maison Quetrebône rêve encore de ce prestige passé auquel elle semble encore tant attachée. Le duché de Bretagne ayant pendant longtemps porté confusion sur ses origines, il n’en fallut guère plus pour que les Quetrebône, éternels opportunistes, ne tournent cette situation à leur avantage : la famille s’est alors longtemps targuée au moyen-âge d’être descendants de la Fée Morgane, et ainsi d’avoir une égale importance que la famille royale, prétendument descendants de Viviane. Certains duchés vinrent à s’allier aux Quetrebône et à réclamer une indépendance de la Bretagne, dont ils auraient été les vassaux. L’histoire avait fait grand bruit à l’époque, au XIV et XVème siècle avant de tomber dans l’oubli avec l’arrivée du duc André Quetrebône, en 1594. Enfant illégitime ayant été élevé par des moldus, André était un profond catholique. La découverte de ce père sorcier qui – vingt ans plus tard le désigna héritier légitime – fut un profond choc pour le prêtre. Il avait refoulé du mieux qu’il le pouvait ses origines sorcières, mais ne pouvait plus effacer l’envie de plus en plus grandissante d’être duc, que le territoire soit sorcier ou moldu, la position nobiliaire était à ne pas manquer. Ainsi, incompétent mais décidé, André fut le premier duc de Bretagne à éduquer chacun des membres de la famille dans la foi et la plus profonde croyance en Dieu. Encore aujourd’hui, chaque Quetrebône est profondément croyant même la dernière génération de la famille, composée de trois filles et un fils.

A noter que, n’appréciant guère la famille royale – et surtout le roi Géodor I qu’ils accusent d’incompétence – ils financent  et aident allègrement quoique discrètement les détracteurs de la Couronne, dont plus récemment la famille Noirclère du duché de Lorraine. La Maison Quetrebône estime que le roi actuel dérive de ses fonctions, et que son intérêt pour les petits plaisirs plutôt que pour la politique, mènera la France sorcière à sa perte. L’avis de la duchesse Clémentine Quetrebône est unanime, bien que son fils ne semble guère partager cet avis, contrairement aux trois autres filles. Ce désaccord pourrait d’ailleurs mener le garçon à se voir enlever le titre d’héritier du duché de Bretagne au profit de ses trois sœurs, tant Dame Clémentine déteste être contrariée.

- Branche principale : la duchesse de Bretagne Clémentine Quetrebône et son défunt époux Gaspard Noirclère, frère de l'actuelle duchesse de Lorraine : trois filles Quetrebône (15 ans, 19 ans, 32 ans), 1 fils Quetrebône (17 ans)




MAISON DE NOBLECOURT
« Sub umbra flores »
« Les fleurs éclosent à l’ombre », sub umbra flores. Leur devise est aussi insaisissable que ne l’est leur réputation. Une couleur or sur un fond noir, l’apparente dualité a toujours existé. Connus pour être de ces rares familles à rester éternellement solidaire à la couronne, mais avant tout aux propres membres de leur clan, la Maison Noblecourt sortit de l’ombre, et fut davantage remarquée, lors de la nomination d’Ambroise de Noblecourt au poste de Cardinal, en 1669. Depuis cette date, les de Noblecourt se sont ostensiblement rapprochés de la politique, et font d’ailleurs d’excellents politiciens. Les membres de cette famille ont cette passion vivace pour la politique. Les idées qu’ils défendent – majoritairement royalistes  – font d’eux des sorciers éternellement fidèles envers la famille royale. Les rois l’ont d’ailleurs bien souvent montré par la nomination de Noblecourt aux hautes fonctions des Ministères au fil des siècles. Pourtant, malgré leur loyauté indéniable envers la couronne, les Noblecourt n’inspirent guère confiance. Car pour un de Noblecourt, il n'y a rien de plus important que la famille. Leur solidarité détonante est une force, et jamais un de ces lions ne trahira son clan. Ils se serrent les coudes, et même lorsqu'un l'un des membres de leur famille est en tort, ils le défendent sans vergogne. Ainsi, des rumeurs ont souvent entaché leur blason, et on murmurait que la première duchesse Noblecourt avait ensorcelé d’un philtre d’amour le roi Arnaut V afin qu’il lui offre des terres, mais que son clan avait réussi à étouffer l'affaire pour la protéger.
Les de Noblecourt flirteraient avec la Magie sombre pour parvenir à leur fins, ce qui expliquerait les hautes responsabilités politiques qu’on ait pu leur confier au fil des siècles. Ils seraient les premiers à conseiller honnêtement les rois, mais à manipuler et évincer les autres pour leurs intérêts politiques et financiers. Leur blason noir rappelle inlassablement le côté obscur que les rumeurs leur accordent. On les craint mais les respecte pour leur influence.

Il y a deux branches dans cette famille : deux fils aux idées diamétralement opposés, l’un royaliste et l’autre progressiste. De la branche héritière du titre sont nés trois enfants : deux fils - les aînés - et une fille, Juliette. Leurs parents ont eu beau rompre plusieurs années auparavant, la tradition des Noblecourt à ne jamais abandonner l’un des leurs les a poussés à ne pas divorcer et à vivre ainsi une vie assez libertine tout en sauvant, en public, les apparences.
La branche cadette est composé par le frère progressiste de l'actuel duc, un cadet aux idées démocrates, qui en fait la risée parmi les familles ducales. À cause de ses positions, il a fait fléchir la réputation et la popularité des Noblecourt (sujet de discorde avec son frère) et on lui reproche ouvertement d'avoir terni la réputation de ses ancêtres. Les adultes des deux branches sont ainsi fâchés de longue date, seul l'avenir dira si leurs enfants enterreront la hache de guerre.

- 1ère branche, Léandre de Noblecourt, actuel duc de Champagne & Cassandre Colombel, soeur de l’actuel duc de Normandie : deux fils (23 ans redoublant à Beauxbâtons, et 27 ans), une fille Juliette (22 ans, pv).
- 2ème branche, ancien duc de Champagne Thomas de Noblecourt, décédé, & Blanche de Boisbleau, tante de l'actuel duc du Poitou : un fils (33 ans, homme important en politique) et une fille (29 ans), frère et sœur de l’actuel duc de Champagne.





MAISON DE ROUVIÈRE
« Non Serviam »
Par le passé, les de Rouvière ont eu du mal à gérer leur duché. Les fils se succédaient au pouvoir, mais les vassaux – particulièrement pauvres dans le Languedoc sorcier, qui connut de nombreuses famines – contestaient leur légitimité et réclamaient l'autonomie du duché. Cette incapacité à se faire respecter et honorer a toujours ralenti l'essor et la prospérité du duché de Rouvière, et se fait ressentir aujourd'hui, même si le duché trouva une certaine stabilité au XIXième siècle sous Pierre de Maison Boède. Le chef actuel de la famille est Gérard de Rouvière. Homme sec, droit et acariâtre, il est connu pour son mauvais caractère et son manque de coopération. Il renvoie violemment chaque conseiller que la Maison Royale dépêche auprès de ses terres, prétextant qu'il n'est pas encore sénile. Il a pourtant soixante-dix-neuf ans, et il n'est plus l'homme robuste qu'il était à trente ans. Mais son orgueil refuse de léguer le trône à son plus grand fils, Roman de Rouvière. On le soupçonne également d'avoir plus d'une femme, et de nombreux enfants illégitimes.

La Maison Royale aime se moquer de la Maison de Rouvière, on se demande quand le « vieux de Rouvière » passera enfin la main, et ce dont est capable Roman de Rouvière pour redresser la piètre réputation de la Maison. Leur devise, « non serviam » et leur blason représentant un buffle sur fond rouge vif, est pour la famille une source de fierté: esclaves de personne, serviteurs d'eux-mêmes. Pour la Cour, c'est un puits à plaisanteries: non serviam, c'est-à-dire qui ne servent plus à rien, qui sont "hors service." La rumeur dit que Gérard de Rouvière marmonne parfois contre la monarchie, maudit le trône et les privilégiés, et affirme qu'une « bonne conquête » réveillerait les sorciers de la brigade des tireurs de baguette, qui s'amollissent, selon lui, de siècles en siècles jusqu'à n'être plus que des « pantins avec des brindilles entre les doigts. » La Maison de Rouvière ne fait plus peur à personne, on trouve de meilleurs sorciers parmi son peuple qu'au sein de son château. Et pourtant, la Maison Royale elle-même est incapable de prédire ce qui fera l'avenir, et de quoi sera fait l'héritier...

- Branche légitime, duc du Languedoc Gérard de Rouvière & Athéna Deulceux, sœur de l’actuelle duchesse de Wallonie : un fils, Roman de Rouvière (38 ans).
- 1ère Branche bâtarde, duc du Languedoc Gérard de Rouvière &  Justine Leroy, une roturière  : deux jumeaux Leroy (1 fils, 1 fille : 35 ans)
- 2ème Branche bâtarde, duc du Languedoc Gérard de Rouvière & Ashley Edwards, une roturière étrangère Edwards : 1 fille (30 ans)





MAISON OMBREDAME
« virtus sine faco »
Virtus sine faco, la valeur sans faux éclat. Une devise bien humble pour la Maison la plus riche de toutes celles de France, et la plus prestigieuse. Grâce à l’exploitation de nombreux châteaux de la Loire (d’architecture sorcière bien entendu, mais dont les moldus ignorent tout de l’existence), la Maison Ombredame est une famille des plus prospères depuis plusieurs années. De ce fait, chacun des membres de cette famille a toujours été habitué à un luxe raffiné. Il aurait été facile pour eux de se laisser engloutir par la complaisance et la vie aisée dont la vie leur avait fait cadeau. Leurs ancêtres sont certes cupides et avares mais la réputation de la Maison a connu un nouveau souffle lorsque Florent Ombredame devint duc de la Loire, en 1949. Depuis lors, tous leurs vassales et autres provinces de France s’accordent à dire que la Maison Ombredame est de loin la plus charmante et agréable de toutes. Florent est en effet un homme courtois et gentleman, qui sait charmer n’importe qui par un sourire ou une seule phrase. On en viendrait même à pardonner sa position favorable envers l’indépendance de Beauxbâtons.
Florent a eu deux enfants : deux filles. Très proches l’une de l’autre, la cadette a épousé le comte d’Anjou et a donné naissance à Elysée Berthelot (pv comices), tandis que l’autre sœur a eu deux fils et une adorable fille. Le duc décida de confier sa succession à l’un de ces derniers : Harry Ombredame (pv employés), puisque Florent revoit en lui ce garçon qu’il était plus jeune.

- Branche principale , Catherine Ombredame et un inconnu : Harry Ombredame (24 ans) héritier du duché. Puis remariage de Catherine Ombredame avec Angelin Colombel, frère de l’actuel duc de Normandie : 1 fils (19 ans), 1 fille (21 ans)
- Branche cadette :  Lucille Ombredame soeur de Catherine, & Bastien Berthelot, comte d’Anjou : 1 fille Elysée Berthelot (20 ans)





MAISON NOIRCLÈRE
« Ubi maior, minor cessat »
Ils sont surnommés les « neutres » depuis la création du duché (XVième siècle) avec les pays slaves frontaliers, pourtant les Noirclère n'ont plus grand chose de neutre ou d'indifférent aujourd'hui : amoureuse du pouvoir, la Maison Noirclère rêve secrètement de dérober ce dernier aux Leblois et se verrait bien couronnée. Ils ne sont absolument pas contre le système – bien au contraire – mais sont seulement assoiffés de pouvoir et dévorés d'ambition. D'ailleurs, cette famille a toujours été connue pour ses penchants pour la Magie noir et idées extrémistes sur la pureté du sang, et ne s'en sont jamais cachés bien qu'ils expriment une image très modérée aux yeux de tous afin de ne pas s'attirer les foudres de la royauté. C'est Tanguy Noirclère qui initia sa famille aux arts de la Magie Noire et à une idéologie raciste sur la pureté de sang. Leur neutralité vint alors peu à peu à disparaître au fil des générations, malgré quelques figures emblématiques du clan qui vinrent à protester et tenter vainement de remettre le clan sur le droit chemin.

Aujourd'hui, la duchesse Mélissandre Noirclère suit plus que jamais les traces de son ancêtre, et dirige d'une main de fer son duché. Femme indépendante et charismatique, elle est déterminée à faire placer sa Maison et ses fils au premier plan. Le clan n'est certes qu’au début de son ascension vers l'usurpation du titre de roi, commençant seulement à se donner les moyens de leurs ambitions en oeuvrant dans l’ombre. Famille crainte, il faut absolument se garder de s’attirer les foudres si on tient à la vie. Le plus dangereux dans cette situation est probablement le fait qu’ils sont impossibles à évincer : d’abord parce que leur culpabilité dans une quelconque affaire n’a jamais pu être établie, ensuite parce qu’ils sont d’un appui financier beaucoup trop important pour la monarchie pour que celle-ci ne l’écarte…

La Maison Noirclère a la particularité de ne pas encore avoir de descendant définitif pour le titre de duc : les trois fils se querellent pour cette responsabilité, la duchesse n’ayant pas encore choisi son successeur. Quelques rumeurs tentent d’ailleurs d’expliquer les raisons pour lesquelles Mélissandre Noirclère tarde tant à se décider, des rumeurs peu glorieuses qui agacent la Maison ducale.

- Branche principale, la duchesse Mélissandre Noirclère & Othon Zeno, cousin de la famille royale de Grèce  :   trois fils Noirclère : 18 ans, 21 ans, 22 ans.



MAISON COLOMBEL
« In bello leones, in pace colombae »
« In bello leones, in pace colombae » est leur devise, leur hymne. Depuis plusieurs centaines d’années, les Colombel sont réputés pour leur absence de prise de position notamment dans le domaine politique. Ce fut d’ailleurs Alexandre Colombel, le pionnier de cette nouvelle idéologie à présent devenue tradition au sein de la maison. Tous prônent un pacifisme irréprochable qui leur a valu d’être respecté pendant plusieurs années par les autres aristocrates et par la famille royale elle-même. Néanmoins comme tout à chacun le sait, cette volonté finit par devenir un véritable défaut vu de l’extérieur. Certains les considèrent comme des personnes effacées et faibles, d’autres comme de véritables couards. On ne s’attardait plus réellement sur le duché de Normandie qui finissait par devenir progressivement l’une des maisons les moins intéressantes.
Pourtant, cette Maison qui tombait peu à peu dans l’oubli refit parler d’elle il y a quelques années : lors de l’union d’un des deux fils Colombel à Charlotte Leblois, sœur de l’actuel roi de France Géodor. De ce mariage naquit trois enfants (Marien actuel héritier du trône, Églantine et Hortense). Charlotte a insisté pour que ses enfants prennent son patronyme (Leblois, comme le roi) et non celui de leur père, le patronyme Colombel n’est à présent porté que par la dernière branche de la Maison de Normandie, à savoir le frère aîné du père de Marien, Eglantine et Hortense, le dénommé Anatole Colombel. Cousins directs de la famille Royale, les Colombel ont cinq descendants : cinq filles, la cadette étant l’héritière choisie par son père pour lui succéder et devenir la prochaine duchesse de Normandie.

Branche Principale, Anatole Colombel duc de Normandie, & Anne-Sophie La Jouvence, sœur de l’actuel duc d’Aquitaine : cinq filles (16 ans, 22 ans, 25 ans, 27 ans, 31 ans).




MAISON DE BOISBLEAU
« Hinc labor, hinc merces »
Les Boisbleau sont si populaires en France parce qu'ils sont les principaux mécènes des arts culturels. Financiers d'artistes, boite de production à eux seuls, ils sont les propriétaires de nombreux musées – hormis ceux qui appartiennent à la Maison Royale, et salles de spectacles. Au XVIIIe siècle, les Boisbleau ont été en opposition avec la Maison Royale, remettant en cause la légitimité du Dauphin, qu'on disait né de la favorite du Roi. Leur richesse eut pour effet de ne jamais leur faire perdre leur titre, mais ils restent une famille controversée, sur laquelle les ragots vont bon train depuis des générations. On raconte que Saintonge et Poitou ne s'entendent guerre, et que Poitou aimerait redevenir tributaire de la Maison Royale.
Et pourtant, rien ni personne chez les de Boisbleau ne laisserait sous-entendre la moindre trace de complot: Alceste de Boisbleau est un homme courtois, charmant et cultivé, ouvert d'esprit et amateur de jeux d'esprit et de spectacles magiques. Sa femme Arielle lui a donné beaucoup d'enfants, six, pour être précis. L'ainée est une fille, viennent ensuite deux jumeaux, un garçon et une fille, puis deux garçons et une petite dernière. Les femmes du Duché de Poitou ont toujours eu une grande place au sein de la politique de la maison, aussi Alceste de Boisleau a annoncé il y a peu que la représente du Duché ne serait autre que sa fille ainée, Camille de Boisbleau. On dit que cela n'est pas au goût de la famille Saintonge, qui comptait bien marier son ainé à Camille et en faire le Duc de Poitou.

Leur devise est: « Hinc labor, hinc merces » : Du travail vient la récompense.

- Branche Principale, Alceste de Boisbleau actuel duc du Poitou & Arielle Durazzo, sœur d'un noble italien au sang pur  : 1 fille Camille de Boisbleau (31 ans), deux jumeaux (1 fils, 1 fille : 26 ans), un fils (25 ans), un fils (23 ans), une fille (18 ans).



MAISON DESCLÈVE
« Etiam si omnes, ego non »
On les jalouse, on les admire, car ils sont et seront éternellement liés aux Leblois. Cette alliance de sang se remarque même sur leur blason modifié par Léopold Desclève, qui détient certaines caractéristiques propres à la royauté : la fleur de lys, et l’hermine. Ancien fief d’insoumis, cette époque est définitivement révolue depuis plusieurs siècles déjà, puisque leur nom rappelle instantanément celui de la royauté et du pacte passé entre la Maison Royale et la Maison Desclève. Pour la plupart des français, la Maison Desclève est celle qui viendrait à prendre la couronne, si, par malheur, la Maison de l’actuel roi venait à s’éteindre.
Récemment pourtant, la tragédie a frappé la famille : la fille cadette Solange, destinée à un brillant avenir dans la politique magique (puisqu'elle était deuxième dans l’ordre de succession au trône) est décédée des suites d'une maladie incurable. C’est alors leur dernier enfant et unique fils Dorian vers qui tous les yeux sont tournés, dont on espère tout, s'attendant à ce qu'il reprenne vaillamment le flambeau encore chaud qu'avait déjà brandi sa sœur.

Branche principale, Eugenius Desclève actuel duc de Provence & Alice Leblois, sœur du roi de France Géodor I : un fils Dorian Desclève (20 ans).




MAISON DEULCEUX
« Continḗmus »
Rhéa Deulceux est la chef de la Brigade des Forces Magiques. Comme chacun de ses ancêtres, elle est une redoutable guerrière, spécialiste dans l'art du duel et de la stratégie. Leur château est noir, ses briques sont noires, et, fidèle à la tradition médiévale, le lieu est encore entouré de hauts remparts. Depuis toujours la loyauté des Deulceux est célèbre, y compris hors de France et parmi les duchés autonomes. Ils sont les rebelles, les insoumis, les invaincus amis de la couronne. Leur devise n'a pourtant rien de sanglant: continḗmus, qui sonne comme « nous continuons », a en vérité une signification bien plus profonde, tirée du mot latin. Contineo signifie maintenir uni, relié, entourer, envelopper, mais aussi soutenir, communiquer, lier, garder (au sens « gardien » du terme) et rester, demeurer. Une devise impassible et implacable qui convient mieux qu'aucune autre aux Deulceux. Habituellement, les filles de la maison sont discrètes, et les hommes mis en avant, mais depuis quelques années, c'est Galatée Deulceux qui récolte le plus de gloire, ayant été élue meilleur espoir féminin français en duel de sorcier (baguette et épée à la fois), elle suit le même chemin que sa mère redoutable.

L'héritier du titre des Deulceux se nomme Créon Deulceux. Il étudie la politique, et reprendra le flambeau dans quelques années, Rhéa Deulceux étant encore robuste et possédant toute sa tête.

- Branche Principale, Rhéa Deulceux actuelle duchesse de Wallonie et de Elliott Paxton sang pur américain : 1 fils Créon Deulceux (20 ans), 1 fille Galatée Deulceux (26 ans), et une cadette (18 ans)
- Branche cadette,  frère de la duchesse Ferdinand Deulceux, et Anaelle Buffenoir, sœur du duc d’Auvergne : 1 fille Deulceux (22 ans)
- Branche cadette, frère de la duchesse de Wallonie Ancelin Deulceux & Angélique de Montbriseul, sœur de l’actuel duc de Bourgogne : 1 fils Deulceux (19 ans), 1 fille Deulceux (24 ans)


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