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| Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer | |
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MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
CARTE CHOCOGRENOUILLE ◗ LIENS:
| Sujet: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Mer 8 Jan - 22:47 |
| Alistair Louis, Adhémar
Le protocole Comme si la bonne fée s’était penchée sur son berceau et avait décidé que cet enfant serait le plus heureux de tous. Malgré un passé mystérieux, des origines suspectes, Alistair est le symbole même du bonheur. Peut-être parce qu’il s’est toujours dit qu’il valait mieux sourire, narguer les malheurs, s’en moquer parfois, plutôt que de se laisser aller et déprimer dans un coin. Hédoniste par obligation, parce que vivre de remords ne serait pas vraiment vivre – il profite de tout ce que lui offre son rang privilégié. Ne pas avoir d’obligations royales, quel pied, franchement. Il a tous les avantages de la monarchie sans les inconvénients. Toutes les richesses du monde, sans le malheur. Au final, ce qu’il a perdu, les doutes qu’il a pu avoir, tout cela n’a que peu d’importance. Il est vivant. Il est un sorcier. Il est cette bise, cette bouffée d’air qui emplit vos poumons lorsque vous reprenez votre souffle après avoir couru. La simplicité incarnée. Alors, pourquoi est-il si seul ? « Vivre n'importe comment, mais vivre » (Fiodor Dostoïevski) NOM, PRÉNOM(S) ☞ Adhémar. Famille française plutôt connue, notamment dans les milieux bourgeois, bien que nous n’ayons pas le sang-bleu. Disons que notre nom nous permet d’entrer partout sans que l’on nous pose trop de questions. Alistair, mon premier prénom, celui que je porte avec fierté. J’aime ce côté britannique, la classe qu’il représente. C’est long, doux, et on s’en souvient. Quoi de mieux qu’un prénom original pour faire impression auprès des gens ? Louis, mon second prénom, est plutôt là pour la forme. Ce n’est pas que je le déteste, mais je le trouve beaucoup trop banal. D’aucuns pensent qu’il s’agissait du premier choix de mon père, refusé par ma mère. Et ça ne m’étonnerait même pas. Papa, ce conformiste absolu.AGE, NAISSANCE ☞ Je suis né il y a vingt-et-un ans, dans notre comté du Berry. La date et le lieu précis n’ont pas vraiment d’importance. Disons que mes parents souhaitaient rester discrets, comme s’ils voulaient cacher ma naissance à la face du monde. Je suis né dans notre maison, sans médecin pour assister ma génitrice.NATIONALITÉ ☞ Française, comme tous les Adhémar. Évidemment. ASCENDANCE ☞ Je suis un sang-pur, enfin, je crois. C’est ce que je dis à tout le monde, en tout cas. Là encore, mon sang dépendant de mes origines, tout est un peu confus ; mais par principe, je refuse que l’on m’assimile à un sang-mêlé. Mon entourage nobliau refuserait cela, de toute façon.TITRE ☞ Je suis héritier du comté du Berry, étant donné que je suis fils unique. Mais je suis persuadé que mon père préfèrerait avoir un autre descendant sur lequel s’appuyer. Vous m’imaginez, Alistair Adhémar, fêtard absolu, devenir Comte ?ANNÉE D’ÉTUDE ET CURSUS ☞ Laissez-moi compter… Oui, cela fait bien sept ans que je marche dans les couloirs de Beauxbâtons. Un sacré bout de vie, en somme. J’attaque mon avant-dernière année avec enthousiasme, malgré tout. Je suis fier de ma spécialisation ; maîtrise de la magie. Ce n’est pas donné à n’importe qui, après tout. Et avec un peu de chance, je pourrai devenir auror.RESPONSABILITÉS, ACTIVITÉS PARASCOLAIRES ☞ Je ne pratique aucune activité parascolaire. Mon parcours est bien trop exigeant pour que je trouve le temps de m’inscrire quelque part… PATRONUS ☞ Mon patronus est un coq. Symbole français par excellence, vous me direz. Pour ma part, j’ai toujours pensé qu’il personnifiait ma fierté excessive et mon orgueil.
Dorures et Ornements LES VALISES: Première année. Mon arrivée dans cette prestigieuse institution qu’est Beauxbâtons, avec une idée en tête : la magie, encore et toujours. Maîtriser cet art, enfin. Dans le petit coin qui m’est attribué, je commence à ranger mes livres. Bon nombre d’entre eux parlent des aurors, que j’admire depuis toujours. Certains sont des romans épiques, narrant les aventures de sorciers aux dons inégalés. Hybrides, animagi, autant de choses qui m’émerveillent alors. Je souris un instant, les yeux rivés sur cette bibliothèque exceptionnelle, puis entreprends de sortir mes affaires. Des uniformes et des costumes, principalement. La mode et le style n’ont pas vraiment leur place dans cette académie pourtant française. Le seul fait de savoir que mon élégance sera bridée ici me navre, mais je sais aussi que je n’y passerai pas ma vie. Autant ronger mon frein, prendre mon mal en patience. Sous les pantalons se cache ma baguette, que je saisis entre mes doigts fins comme s’il s’agissait de la chose la plus précieuse au monde. En bois de sapin, elle mesure trente centimètres et demi et est très légère, bien que solide. Le bois est légèrement veiné, sculpté naturellement par l’histoire de l’arbre, et en son cœur réside la poudre résultant du broyage d’une dent de loup-garou. Apparemment, il s’agit d’une baguette puissante ; le vendeur avait d’ailleurs l’air surpris qu’elle me choisisse, et que je parvienne à la maîtriser aussi facilement. Peut-être que mon rêve ultime n’est pas si inaccessible que ça, au final…
| BEAUXBÂTONS: Beauxbâtons a été, pour moi, une manière de me libérer. Longtemps tourmenté par mon ignorance au sujet de mes origines, je n’ai eu de répit qu’en arrivant ici. La magie a toujours été ma bouée de sauvetage, mon échappatoire lorsque tout s’écroulait. J’ai mis tout mon cœur dans mes études. On ne le croirait pas, comme ça. Alistair Adhémar, ce garçon volage, libertin, charmeur ; celui que l’on prend pour un être superficiel, parce qu’il ne peut pas en être autrement. J’ai toujours eu d’excellents résultats, et mon engouement pour mon cursus a fait de moi l’un des élèves favoris des professeurs. Cela ne m’empêche pas de sortir de l’école dès que j’ai un moment de libre. Je ne suis pas fait pour rester à l’intérieur, et c’est la raison pour laquelle j’apprécie les balades dans Orange. Ma matière préférée reste l’occlumancie. J’avoue qu’au début, j’étais sceptique. Persuadé de ne pas y arriver, parce qu’on nous répétait que seules les personnes les plus déterminées, les plus calculatrices, sont douées dans cet art. Au final, je suis devenu meilleur de jour en jour. Je ne sais pas ce que cela révèle sur ma personnalité ; en fait, je n’ai même pas envie de le savoir. Mais ce dont je suis conscient, c’est que maîtriser ce don est un avantage considérable pour un auror en devenir tel que moi.
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ACTUALITÉ POLITIQUE: La monarchie est essentielle, pour moi. Pas seulement parce que je suis amené à être Comte dans un futur plus ou moins proche ; mais parce que j’aime cet univers de privilège. C’est assez égoïste de dire cela, et ça ne me ressemble pas vraiment. Mais ma place est sans doute la meilleure qui soit. Je n’ai aucune pression, aucun protocole à suivre. Je fais ce que bon me semble, vais là où le vent me porte. Bien sûr, ce n’est pas le cas de Marien Leblois. Je le plaindrais presque, s’il n’avait pas autant de succès avec les filles. Marien est quelqu’un de solaire, extrêmement charismatique. Je ne doute pas qu’il fera un roi absolument prodigieux. Et après tout, si sa place n’est pas la plus confortable, il y a pire sort que celui de devenir souverain, n’est-ce pas ? Solange, la belle Solange… Je ne l’ai pas vraiment connue, mais je me souviens d’elle. De son physique incroyable, son charisme. Son éloquence. Solange était une bénédiction pour les Desclève. Un cadeau qui n’arrive qu’une fois dans une vie. Leur véritable espoir de prendre une place importante dans la monarchie ; et cette lueur a été balayée par sa disparition tragique. Maintenant, c’est le Prince Bègue qui se trouve derrière Marien dans l’ordre de succession. Seigneur, j’aimerais que ça ne soit pas vrai. On ne peut pas dire que je porte le Jadérial dans mon cœur. Trop timide, renfermé, avec ce stupide handicap. Marien a intérêt à ne pas nous faire faux bond ; je ne supporterais pas d’être dirigé par ce garçon. | PARTICULARITÉ(S): Alistair est particulier. Il le sait, depuis toujours. Néanmoins, il peine à en connaître la raison. Son charme est l’un de ses immenses atouts, sans aucun doute. Le beau, le ténébreux Alistair. Celui qui fait valser les cœurs des filles, les embroche, les dévore. Celui qui se targue d’avoir cent conquêtes au compteur, avant de pulvériser une nouvelle fois ce record. Et tout ce magnétisme, toute cette sensualité qu’il dégage, ne le rendent pourtant pas désagréable. On aime être avec lui, parce qu’il est vrai. Agaçant, jaloux, drôle, subtil, possessif, colérique. Quelle que soit la facette qu’il montre, on ne peut pas lui en vouloir, parce que ça fait partie de son caractère. Il reste un être mystérieux, terriblement envoûtant ; même malgré les cicatrices qui commencent à apparaître sur sa peau. Parce qu’il s’entraîne pour être auror ; il s’entraîne si souvent, si fort. Il y croit. Il accomplira son but, il sera au sommet. Parce qu’il ne peut pas en être autrement. Et s’il doit y arriver seul, soit. Mais il y aura toujours une jeune-femme pour penser qu’elle peut retenir cet éternel excentrique. Ce papillon au cœur d’or. Au sourire d’ange, mais à l’âme si écorchée pourtant. Il y a quelque chose, derrière ses grands yeux noirs. Il y a un secret. Et il l’emportera sûrement dans la tombe. |
Les notes de la duchesse Malgré les apparences, il ressent une insécurité permanente. Sans aucun doute parce qu’il n’est pas le véritable enfant de son père ; sa mère est tombée enceinte après une aventure avec un sang-bleu. Ce dernier les a abandonnés et a refusé d’assumer la charge de cet enfant. Une peur de l’abandon s’est donc installée dans son esprit, et elle ne partira pas de sitôt D’ailleurs, il a déjà parlé à son véritable père, mais personne n’est au courant. Il ne lui a dit que quelques mots, dans la rue, en passant. Une phrase murmurée, un chassé-croisé de regards. « Tu ne me manques pas », lui a-t-il dit, avant de continuer sa route. Depuis, il le regrette ; au fond de lui, il aurait aimé connaître cet homme qui fut trop lâche, trop égoïste Il a toujours été très à l’aise avec la monarchie, malgré son sang simplement pur. Les fêtes mondaines sont pour lui des occasions de briller en société. Il a toujours le mot d’esprit qu’il faut, la boutade appropriée, et les gens l’apprécient énormément Il aime le chiffre 7. Impossible de savoir pourquoi. Sa forme, sa sonorité. Lorsqu’il se sent joueur, il mise toujours tout sur ce chiffre-là Il est capable de se faire l’avocat du diable. Peut-être parce qu’il aime les causes perdues ; sûrement parce qu’il adore décontenancer les gens. Voir leurs mines déconfites lorsqu’il défend un sorcier maléfique qui « aurait eu des problèmes pendant son enfance » Il aime la musique et a longtemps joué du violon. Il ne pratique plus cet instrument depuis des années, pourtant. Le manque de temps, dû à son cursus intensif Il dédaigne parfois les sangs-mêlés, mais se montrera toujours courtois avec une demoiselle. D’une part, parce que le protocole de Beauxbâtons veut que la galanterie prévale sur tout le reste. D’autre part, parce que cela fait partie de ses règles de gentleman. Point Il se souvient de toutes ses conquêtes, mais garde un souvenir plutôt confus de l’une d’elles : Elysée Berthelot. Elle avait trop bu, il avait trop bu, et ils avaient passé la nuit ensemble. Aujourd’hui, ils sont amis et ne mentionnent quasiment plus cette étrange soirée Alistair se vante de ne pas tomber amoureux. Ou de tomber si souvent amoureux que ça ne lui fait plus aucun effet Il aime les chiens, mais comme ils sont interdits au sein de l’école, il est venu les mains vides, sans aucun animal de compagnie pour rester à ses côtés. Parfois, la solitude le ronge, et il quitte le château pour se rendre aux écuries, saluer les chevaux. Une fois dépouillé de son aréopage habituel, les animaux restent ses plus grands amis Alistair est un « solitaire populaire », comme il aime se définir. Toujours entouré de beaucoup de personnes, il se sent pourtant terriblement seul. Aucune sœur, aucun ami proche à qui confier ses secrets ; surtout celui qui le hante depuis toujours. Mais personne ne pourrait le croire en voyant son sourire et ses yeux brillants, rieurs. Parce qu’il cache si bien son jeu que parfois, même lui ne se rend plus compte qu’il s’agit d’une supercherie À une époque proche des enfants de la famille royale, il a cessé tout contact avec eux en apprenant ses origines. Il ne voulait pas que le bruit des infidélités de sa mère se répande. Aujourd’hui, il aimerait dire la vérité à certains, mais ne sait comment revenir vers eux Il préfère le salé au sucré, et se régalera toujours avec une bonne assiette de viande Les gens du Berry le connaissent et l’apprécient. Là-bas, tous les habitants le considèrent comme leur propre fils Lorsqu’on lui demande quelles sont ses phobies, il ne sait jamais quoi répondre ; il n’a peur de rien, ou presque. Allez, pour leur faire plaisir, on va dire « les araignées ». Tout le monde a peur des araignées, après tout Il aime utiliser le mot « goule » à tort et à travers. ‘Tu as une tête de goule, aujourd’hui’, ‘Face de goule’… Tout y passe. Et même ses amis n’y échappent pas.
L'écrivain anonyme PSEUDO / PRÉNOM: Unserious/Agnès ÂGE: 25 ans PRÉSENCE : 7 / 7 jours. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM: Au tout début grâce à Elysée/Marie. Je crée ce nouveau monsieur parce que j'ai envie d'aller plus loin dans l'aventure COMMENTAIRE(S): Ceci est mon double-compte, en plus de Dorian Étant à jour dans mes RPs, j'ai eu envie de créer un nouveau personnage, différent. AVATAR: Le beau Jim Sturgess. MOT DE LA FIN: Re
Les banalités protocolaires Registre A: Jim Sturgess - Alistair L. Adhémar Registre B: Alistair Adhémar Registre G: Les familles comtales -> Comté du Berry : famille Adhémar Registre I: Coq (Alistair Adhémar) Registre K: Les royalistes
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Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Mer 8 Jan - 22:48 |
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Les allégories princières
« Come up to meet you, tell you I'm sorry You don't know how lovely you are I had to find you, tell you I need you Tell you I'll set you apart
Tell me your secrets and ask me your questions Oh let's go back to the start Running in circles, coming in tails Heads on a science apart »
Je pousse la porte, doucement. J’ignore pourquoi mes pas m’ont guidé ici, alors que je devrais être au lit depuis longtemps. « Tu es parti… abandonnés », prononce ma mère, à quelques mètres de là. Elle parle à voix si basse que je n’entends que quelques mots. Je colle mon oreille dans l’entrebâillure. Essaie de comprendre cette discussion. D’habitude, je n’épie jamais les autres. Mais cet homme que je ne connais pas m’inquiète. Me terrifie. La manière qu’il a eue de me regarder, lorsqu’il m’a vu. Comme s’il me connaissait. Comme s’il était, lui aussi, terrorisé. Je ne suis qu’un enfant. Un enfant normal. Je suis Alistair Adhémar ; sans dons, sans compétences particulières. Un simple garçon de huit ans. « Tu aurais pu venir le voir, toutes ces années, mais tu ne l’as jamais voulu » continue la douce voix de ma génitrice. Je me mords la lèvre, ose me pencher davantage. Cela ne te concerne pas. Va te coucher, immédiatement. Ferme les yeux, essaie de rêver, de penser à autre chose. Mais par-dessus tout, va-t’en. « Tes fonctions t’empêchaient de nous assumer ? C’est de ton fils que l’on parle », s’exclame-t-elle soudain, et je recule de quelques pas. Mon cœur bat plus vite, je le sens. Tout se mélange, tout s’affole. Je m’appuie contre le mur, reprend mon souffle. Essaie, surtout, de ne pas faire de bruit. Ma gorge me fait mal, je déglutis. Cette envie de régurgiter mon repas s’installe doucement, alors que je repasse les mots en boucle dans ma tête. Je me mords les lèvres, essaie de ne rien dire alors que j’ai envie de crier. « Tu n’as jamais été là pour Alistair, ce n’est pas la peine de venir maintenant » dit-elle d’une voix plus douce, alors que je prends conscience qu’elle parle effectivement de moi. Sans que le veuille, un sanglot s’échappe d’entre mes lèvres. Je plaque mes mains sur ma bouche et m’enfuit en courant vers ma chambre. Une vingtaine de minutes plus tard, ma mère vient me border. Je fais semblant de fermer les yeux, mais même un somnifère très puissant ne parviendrait pas à me faire dormir cette nuit. Elle se penche sur moi, embrasse mon front. « Je sais que tu nous as entendus, murmure-t-elle. Mais tout ira bien, mon Ali chéri. Nous n’avons pas besoin de lui. Nous nous en sortirons ». Je plisse les yeux, tente de l’ignorer autant que possible. Papa est-il au courant ? Sait-il que je ne suis pas son fils ? Que toute mon existence est un mensonge ? Je déglutis, sachant parfaitement que cela me trahit. Peu importe. Ma mère se relève, s’éloigne. « Dors bien, mon ange » murmure-t-elle avant de refermer la porte. Oh maman. Je ne sais pas si je pourrai dormir de nouveau. Que me caches-tu d’autre ?
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Qui es-tu vraiment, Alistair ? Qui es-tu ? Peux-tu continuer à marcher parmi tes cousins, tes amis, parmi ces gens nobles, en sachant que parmi leurs parents se cache peut-être ton géniteur ? Peux-tu continuer à fréquenter ces personnes en sachant que tu n’es rien de plus qu’un bâtard, et qu’un bâtard, dans notre monde, ça doit marcher les yeux baissés ? Redresse-toi, souris. Fais comme si de rien n’était. Fais en sorte qu’ils se demandent pourquoi tu es si heureux. Sois heureux, à vrai dire. Sois plus joyeux que n’importe quel gamin. Passe, marche, la tête haute. Joue avec eux, ris parfois. Le moment de les quitter arrivera bien assez tôt, parce que maman n’aura plus envie de croiser son regard. D’ailleurs, je la vois, là-bas. Je la vois scruter les visages, dans l’attente de croiser celui qu’elle redoute le plus. Et soudain, c’est le cas. Elle détourne les yeux, se mord la lèvre. Évite les prunelles pour éviter les jugements. Parce que ça lui fera trop de mal si les autres mères, si les autres nobles, se rendent compte de la supercherie. Je me tourne et l’aperçois. Celui qui l’a faite rougir. Celui qu’elle déteste mais qu’elle aime tellement, à la fois. N’y vas pas. Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu t’approches ? N’as-tu pas peur de jugement des autres ? De leur regard ? Retourne vers ta mère. Tu n’as rien à faire auprès de cet homme qui ne veut pas de toi. Qui ne t’a pas reconnu, parce qu’un bâtard est, a toujours été, une honte. Ah, c’est plus fort que toi, n’est-ce pas ? Tu te sens obligé de faire ces pas, de marcher jusqu’à lui. Surtout, ne dis rien. Mais ça sera plus fort que toi, pas vrai ? C’est dans ta nature, dans tes tripes. Le petit garçon plein de vie qui donne son opinion sur tout, ou presque. Et ce sourire qui ne quitte pas tes lèvres, alors que tu arrives devant lui. « Tu ne me manques pas » lui murmures-tu doucement, avant de t’éloigner. Oh, Alistair Adhémar. Tu seras toujours le même. Ta mère te regarde, ne vois-tu pas ? Elle t’observe, ignore ce que tu viens de faire. Elle ne sait pas que tu as accompli une vengeance personnelle, un acte d’égoïsme pur. Le premier d’une longue lignée, sans aucun doute, parce que tu es comme ça. Essaie de ne pas trop t’égarer tout de même…
Une fête organisée chez moi, en l’honneur de cette nouvelle fin d’année à Beauxbâtons. Dix-sept printemps, un parcours exemplaire jusqu’à présent. Mes camarades de classe ont fait le déplacement par dizaines, et mes parents sont absents ; un moment de répit idéal, avant de penser à la rentrée. Depuis trente minutes, je la lorgne du coin de l’œil. Elysée Berthelot. On ne peut pas dire que nos cercles d’amis sont les mêmes. Nombreuses sont ses amies avec lesquelles j’ai eu une aventure, et je ne saurais dire si c’est une bonne idée de les avoir toutes invitées ce soir. J’attends qu’elle se retrouve seule et m’avance vers elle. Je traverse la foule jusqu’à l’atteindre. Avant ce soir, je n’avais pas vraiment remarqué sa beauté. Je m’étais toujours plus focalisé sur la haine ou l’admiration qu’elle avait tendance à susciter. Scandaleuse Elysée, conspuée par les filles, adulée par les garçons. Je me glisse à côté d’elle, lui jette un regard tout en descendant mon cinquième verre d’alcool. Elle semble d’abord m’ignorer, puis se tourne vers moi. « On monte ? ». Elle prend un air choqué pendant quelques secondes, sans quitter mon regard. Ce n’est que lorsqu’elle prend ma main et m’entraîne à l’étage que je comprends ses intentions, les mêmes que les miennes. Nous tombons sur le lit, nous enlaçons maladroitement. L’alcool peut vraiment faire des ravages ; mais après tout, c’est ce même alcool qui a amené Elysée Berthelot dans mon lit. J’embrasse ses lèvres, dégrafe violemment son corsage. Nous nous retrouvons nus en quelques secondes et, notre désinhibition faisant le reste, nous passons le reste de la nuit à faire l’amour entre les draps, jusqu’à s’assoupir. Le lendemain, lorsque j’ouvre l’œil, elle est déjà réveillée et m'étudie, comme si elle s’attendait à ce que je lui balance un stupide « je t’aime ». Je souris, la déshabillant du regard. « C’était inattendu » dis-je en m’étirant. Elle hoche la tête. « J’avais bu, et… et tu avais bu » commence-t-elle. Je soupire, me penche vers elle et pose mon index sur ses lèvres. « Ne t’inquiète pas, j’ai pas envie de te passer la bague au doigt ». Mon rire brise le silence laissé par ces dernières paroles et, enfin, elle semble sourire. Je me lève, me rhabille lentement – pour lui laisser le soin de m’observer – et tends la main vers elle. « Tu as faim ? demandé-je, avant de froncer les sourcils devant son air hésitant. Un petit-déjeuner, entre amis. C’est tout ». Elle reste immobile un instant, puis saisit ma main. Elysée Berthelot et moi, non mais et puis quoi encore ? Je sais très bien ce que cela donnerait ; nous nous ressemblons beaucoup trop. Et puis, de toute façon, je préfère les blondes.
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L’éclair de lumière frappe mon épaule, et je prends un moment pour grimacer et frotter ma peau. Mon adversaire semble attendre, nos camarades nous contemplent. Sans prévenir, je brandis ma baguette et, alors que je reste silencieux, un rayon bleuté frappe l’autre élève. J’ignore si nous pouvons recourir aux sortilèges imprononcés, mais je ne me pose pas vraiment la question. Mon camarade tombe au sol, et se redresse quelques secondes plus tard en maugréant. Le professeur monte sur l’estrade, se racle la gorge. « Le cours est fini pour aujourd’hui ». Je lâche un juron dans ma barbe, fourre la baguette dans la poche intérieure de ma veste. « Alistair, vous viendrez me voir ». C’était tellement prévisible. Mais aussi très injuste. Je n’avais rien fait, à part me défendre. N’est-ce pas tout le but du cours de duel ? Apprendre à frapper avant que l’on nous frappe. Se défendre quoiqu’il arrive. Si je deviens auror, je n’aurai pas le choix. Je ne devrai pas faire de sentimentalisme face aux ennemis, parce qu’ils n’en feront pas avec moi. Mais dans l’enceinte de l’école, je sais pourtant qu’il faut se contenir. Ne pas trahir les autres. Notre professeur s’avance vers moi tandis que la classe se vide. Une fois tout le monde parti, il prend une grande inspiration. « C’était quoi, ça ? » demande-t-il, son regard planté dans le mien. La tension est palpable, mais je ne flanche pas. « Nous sommes censés nous défendre, riposter » commencé-je, mais il me coupe la parole. « Vous n’avez pas le droit de prendre l’adversaire au dépourvu dans ce cours ». Il me toise, un air de déception sur le visage. Moi qui suis un si bon élève. Moi qui tente toujours de satisfaire mes professeurs. On dirait que c’est finalement inutile. Que j’ai perdu mon temps. « Écoutez, reprend-il, vous êtes un excellent élève. Vraiment. Mais avec cette attitude, même le meilleur des sorciers peut devenir dangereux ». C’est détestable, quand les gens pointent du doigt vos défauts. Vous les collent sous le nez comme des pièces à convictions. Vous montrent que vous devez impérativement changer, au risque de vous transformer en quelqu’un que vous détesterez. Je n’ai rien à lui répondre, vraiment. J’ignore s’il a raison, et je refuse d’y penser. Ce n’est pas un petit sort imprononcé qui va me faire basculer du côté de la magie noire.
« Que caches-tu, Alistair ? ». Je regarde mon interlocutrice un instant, puis baisse les yeux. Un instant pour réfléchir, pour ne pas faillir. Parce que je ne suis pas faible. Je suis quelqu’un de drôle, d’enthousiaste. Je ne me laisse pas démoraliser, surtout pas à ce sujet. Cette absence de père qui me rendrait insensible. Qui m’immuniserait depuis toujours à l’amour, au bonheur. Derrière mon sourire, personne ne devinerait que je suis en réalité épuisé. Lassé d’avoir toujours été caché, d’avoir vécu dans l’ombre. Je relève la tête, sourire aux lèvres. « Crois-tu vraiment que je sois le genre de garçon à dissimuler des choses ? » demandé-je d’un ton badin, alors qu’elle garde son air sérieux. Tout ramener à l’humour, parce que c’est plus facile. Au fil du temps, cette carapace est devenue moi. Je n’ai même pas besoin de feindre ce comportement ; il est naturel, il coule dans mes veines. Je n’ai pas envie de penser à mon véritable père, à tout ce qui fait que mon existence est un mensonge. Je veux essayer de vivre sans me préoccuper de tout cela. Me laisser porter par le vent. Être libre. « Je ne sais pas vraiment quel genre de garçon tu es » rétorque-t-elle doucement.
Dernière édition par Alistair L. Adhémar le Ven 10 Jan - 12:23, édité 10 fois |
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Iann Kermarrec ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : alix ◗ CREDITS : kidd ◗ SANG : Vicomté du Trégor, sang plus ou moins mêlé
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Mer 8 Jan - 23:54 |
| Re Ce DC m'inspire confiance, je sais pas pourquoi Hâte d'en lire plus ! |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Perrette Ballerine ◗ HIBOUX : 2122 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : ma' (insuline) ◗ CREDITS : voir avatar ◗ SANG : mêlé
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 10:03 |
| Oooh, rebienvenue, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce DC |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Elysée L. Berthelot ◗ HIBOUX : 826 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Sun Showers (Marie). ◗ CREDITS : twisted lips, tumblr, wild hunger. ◗ SANG : Héritière du comté d'Anjou. ◗ PENSINE : Comice Rubissane.
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Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 10:38 |
| Rhoooo merci à vous trois J'espère que le nouveau monsieur vous plaira |
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 13:02 |
| Rebienvenue !! |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 13:09 |
| Merci beaucoup |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Petrónella Jónsson ◗ HIBOUX : 108 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Liquorice wand • Chloé ◗ CREDITS : Mind dreamer ◗ SANG : Sang pur ◗ PENSINE : RAS
| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 20:43 |
| AMOUR DE MA VIE |
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Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Jeu 9 Jan - 20:50 |
| Chérie que j'aime |
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Juliette de Noblecourt ◗ HIBOUX : 1338 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : westallen. ◗ CREDITS : shiya, tumblr. ◗ SANG : Maison de Noblecourt, sang-bleu. ◗ PENSINE : maître dans l'art de la bêtise.
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Ven 10 Jan - 1:15 |
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| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Melian Devlin ◗ HIBOUX : 860 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : riddermark (florence) ◗ CREDITS : hollow bastion ; killianhjones ; signature by wild heart ◗ SANG : Devlin-Colbert, sang pur. Dernière survivante de la famille française Colbert. Parents enfermés à Azkaban. ◗ PENSINE : Excellente cavalière et escrimeuse. Douée et dangereuse en duels de sorciers. Possède une grande maitrise du feu.
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Ven 10 Jan - 10:39 |
| reBienvenue ! |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Ven 10 Jan - 11:34 |
| Juliette Merci Melian |
| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Juliette de Noblecourt ◗ HIBOUX : 1338 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : westallen. ◗ CREDITS : shiya, tumblr. ◗ SANG : Maison de Noblecourt, sang-bleu. ◗ PENSINE : maître dans l'art de la bêtise.
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Dim 12 Jan - 11:47 |
| Guide de Validation. « Bienvenue Au Royaume de Viviane. »« La France se nomme diversité. »
Alistair est tout simplement énorme, je l'adore ! (il pourrait venir chez les compagnons d'ailleurs il a le caractère pour ). Pour l'écrin, j'hésitais entre améthysse et rubissan pour la simple et bonne raison que l'écrin violet est fait pour lui mais qu'il a malgré tout une grande part de rouge en lui, ne serait-ce que dans ses tendances volages. Finalement, il sera un Améthysse. Je ne te donne pas de marraine/parrain puisque c'est un dc.
Félicitations, tu es officiellement magique ! Si ton personnage a un jour fréquenté Beauxbâtons, c'est que tu viens d'être réparti dans l'un des écrins de l'Académie. Un passage inoubliable pour ton personnage, à ne point en douter. Chaque sorcier français se souvient aisément de l'appréhension nouant son estomac, et de la beauté féerique de la Fontaine. Mais c'est avant tout le tout nouveau style de vie qui s'offre ensuite à lui, dont le magicien se souviendra. Rien de mieux pour construire cet univers que de se lancer dans l'ouverture d'un sujet de liens, et de participer évidemment aux sujets de relations postés par les autres membres, cela afin d'acquérir un background intéressant pour l'évolution de ton sorcier. Ce n'est pas seulement ton personnage qui bénéficiera d'une continuité, mais également l'univers sorcier français ! Pour s'en tenir informé, essaie de consulter régulièrement l'actualité sorcière par le biais de la catégorie Sorcière bien-aimée . Si tu te sens inspiré par les événements secouant la France sorcière, alors dans ce cas, n'hésite pas à participer aux intrigues ou mini-intrigues (l'arrivée du roi et de la cour à Orange actuellement) et même à l'animation de la quinzaine à thèmes disponible dès maintenant ainsi qu'au sujet mystère. Rien de mieux pour maintenir ces divertissements que de poster régulièrement dans les publicités de Bazzart et Pub Rpg Design. Sachant que ces activités te permettront de gagner des points grâce à notre système de bavboules mis en place sur le forum ! Bien sûr, postez des rps pour faire évoluer ton personnage reste la meilleure des solutions pour obtenir des gains rapidement.
Aussi, n'oublie pas d'aller vérifier que ton avatar et ton personnage sont bien recensés, l'erreur étant humaine, le staff peut très bien en commettre certaines - bien que très rarement . Une dernière formalité, mais incontournable si vous ne désirez pas voir ton compte supprimé, consistera à signaler tes éventuelles absences dans la partie appropriée.
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| | | MAJOR E LONGINQUO REVERENTIA
Alistair L. Adhémar ◗ HIBOUX : 224 ◗ REVELATEUR : ◗ PSEUDO : Unserious/Agnès/Dorian Desclève ◗ CREDITS : Unserious, tumblr ◗ SANG : Futur comte du Berry, sang-pur au père sang-bleu ◗ PENSINE : Animagus (chien) ; Des brûlures le long de la mâchoire et sur le bras, du côté droit ; Gaucher
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer Dim 12 Jan - 20:17 |
| Je te redis merci |
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| Sujet: Re: Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer |
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| | | | Alistair, pourquoi cet air, cet air si amer | |
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