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| CHAPITRE 1 : les hybrides. | |
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| Sujet: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:06 |
| les hybrides « description des sang-mêlés »PRÉAMBULE« J'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine. »T rès soucieux de la pureté du sang, les sorciers français se révèlent souvent intolérants à l'égard des espèces magiques humanoïdes. Celles-ci ont également une opinion bien arrêtée, souvent méfiante envers les porteurs de baguettes. Des siècles de défiance réciproque ont crée de nombreuses légendes sur ces êtres magiques et leur descendance probable. Tous ont leurs spécificités que les mythes populaires aiment à grossir et diaboliser. Le pouvoir d'attraction exercé par une partie de ces êtres hors du commun est souvent assez fort pour pousser à des unions créant demi-nains, demi-vélanes, demi-géants ... Si les jeunes gens nés "hybrides" sont acceptés à Beauxbâtons, leurs camarades d'étude peuvent être plus réticents, eux, à les accepter. Il en est de même à leur sortie de Beauxbâtons lorsqu'il est temps pour eux de s'intégrer dans la société sorcière, c'est pourquoi beaucoup d'entre eux préfèrent cacher ou nier leurs origines.
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:06 |
| LES DEMI-GÉANTS« On ne valse pas avec un géant sans qu'il vous écrase un peu les pieds. » L es demi-géants sont des hybrides nés d'un géant et d'un humain sorcier. À cause des chromosomes dominants humains, ils prennent le physique de ce dernier, si ce n'est qu'ils sont beaucoup plus grands que de simples humains et qu'ils possèdent une force physique hors du commun. Depuis toujours, les demi-géants dissimulent leurs origines à cause de la très mauvaise réputation qu'ont les géants dans le monde sorcier, à cause, également, des sinistres histoires que les sorciers les moins tolérants colportent à leur sujet. Les géants sont ainsi connus pour être des créatures dangereuses, peu intelligentes, très portées à la violence et aimant tuer. Malheureusement, ce parti-pris est accentué - envers les demi-géants - par la méfiance universelle des sorciers pour les semi-humains qui les excluent très ouvertement et sans le moindre cas de conscience. Cependant, aujourd'hui, c'est-à-dire des années après l'extermination massive des géants dans les années soixante-dix, les géants sont en passe de devenir plus une légende qu'une réalité : ils se cachent dans des montagnes où nul ne les a vus depuis plus une dizaine d'années et les jeunes gens de notre époque ont du mal à imaginer qu'ils aient un jour pu faire de l'ombre au monde magique. C'est principalement pour cette raison que les demi-géants n'ont aucun mal à cacher leur ascendance : généralement les sorciers pensent qu'ils sont simplement plus grands que la moyenne ou qu'ils ont abusé de potion d'agrandissement lorsqu'ils étaient enfants... Les humains normaux, d'ailleurs, apprécient généralement grandement la force herculéenne des semi-géants qui, dans la vie de tous les jours, offre des avantages inestimables. D'ailleurs les demi-géants sont habituellement des êtres serviables et fidèles ayant une vision particulière de ce qu'est l'amitié. Pour eux, c'est à la vie comme à la mort et ils ont beaucoup de mal à pardonner la trahison, l'hypocrisie ou la lâcheté. Ainsi, il n'est pas bon de se mettre un demi-géant à dos... En raison de la disparition progressive des géants et de l'éternelle aversion des humains à leur égard, les demi-géants sont très rares. Mais cela n'a pas empêché Beauxbâtons d'avoir pour directrice une demi-géante pendant plusieurs années ; ce qui prouve d'une part la tolérance de l'académie et, d'autre part, qu'impossible n'est pas français...
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:06 |
| LES DEMI-HARPIES« Oui, elle était brune, brune de cheveux jusqu'au noir le plus jais, le plus miroir d'ébène que j'aie jamais vu reluire sur la voluptueuse convexité lustrée d'une tête de femme... » L a légende des harpies est si connue qu'elle s'est également propagée parmi les moldus qui les imaginent ainsi comme des créatures au buste de femme et au corps, ailes comprises, d'aigle. Mais si c'est effectivement l'apparence qu'elles prennent lorsqu'elles sont en chasse, en revanche, lorsqu'elles sont parmi les humains, elles prennent le physique d'une femme à la belle chevelure brune et au corps osseux. Malheureusement, elles sont peu talentueuses dans l'art de la dissimulation, aussi leur apparence humaine reste disgracieuse et peu séduisante. Par exemple, elles ne se défont ainsi jamais de leurs yeux rouges et dilatés leur permettant d'avoir une excellente vision nocturne ni de leurs ongles crochus et acérés (sous leur apparence hybride, leurs serres sont plus puissantes que celles d'un hippogriffe). Dans le monde magique, les harpies sont redoutées et généralement haïes, principalement à cause de la légende qui court sur elles comme quoi elles enlèveraient les enfants pour ensuite les dévorer mais, en vérité, elles sont désormais rares aujourd'hui à pratiquer cette tradition. En général, elles se contentent de viande tendre et crue, peu leur importe que cette viande soit humaine ou animale... Les demi-harpies - qui en vertu des mystères de la génétique ne peuvent qu'être des femmes - naissent ainsi de l'union d'une harpie et d'un sorcier. Elles ne conservent seulement des caractéristiques des harpies que celles de leur apparence humaine (une peau pâle, des cheveux bruns somptueux, un physique sec et osseux, etc.) et n'ont aucun des pouvoirs des harpies pures. En revanche, elles héritent souvent de leur insatiabilité et de leur voracité. Ce sont aussi, souvent, des jeunes femmes passionnées et empressées comme le sont les harpies. Les demi-harpies, pourvu qu'elles taisent leurs origines, sont plutôt bien intégrées dans le monde magique : seuls les sorciers les plus renseignés et les plus avisés sont capables de discerner leur hybridité. La légende veut pourtant que, sous l'effet de la colère, les yeux de harpies - et peut-être des demi-harpies - prendraient une couleur mordorée l'espace d'une seconde ou deux... Elles sont également liées au vent, élément qu'elles ont naturellement et intuitivement tendance à bien maitriser et à affectionner et leur humeur est particulièrement affectée par la température extérieure et les variations de l'air. Elles sont plus à l'aise dans le froid et sous le vent que sous un soleil brûlant. On a également pu dire et entendre que les demi-harpies avaient une sorte de sens intuitif et instinctif qui leur permettrait d'attirer la sympathie et la confiance des animaux - tout spécialement les oiseaux - et de mieux les comprendre. Mais en vérité, les demi-harpies ont une sensibilité accrue à l'égard de ce qui les entoure, que ce soit les animaux, les végétaux, l'atmosphère ou bien les êtres humains.
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:06 |
| LES DEMI-NYMPHES« En croyant à des fleurs, souvent on les fait naître... » L es nymphes, créatures relativement rares et surtout difficilement visibles même pour les sorciers, sont pourtant des êtres aimés et estimés dans le monde magique, sans doute parce qu'il y a très peu, voire pas du tout, de légendes ou de rumeurs courant à propos de nymphes maléfiques. Bien au contraire, les nymphes sont notoirement connues pour refléter et répandre liesse et santé. Ces créatures, qui aiment couronner leur chevelure de fleurs ou de perles, sont en effet des êtres qui veillent sur la santé et le bien être de la nature et des humains. Elles sont la personnification de la vie riante et légère. Gracieuses et animées, rieuses également, ces ravissantes jeunes femmes à la beauté renversante animent ainsi de leurs danses et de leurs chants les montagnes et les bois, prennent leurs ébats dans la mer, peuplent les bords des ruisseaux et des lacs, ou font des antres de bord de mer leur résidence. Parce qu'elles sont toute en beauté et toute en séduction, de nombreux hommes à qui elles se montrent et qu'elles décident de charmer en tombent amoureux, parfois jusqu'à la folie. La nymphe est d'ailleurs considérée par beaucoup d'hommes comme la femme idéale même si elle est la frivolité et la liberté réincarnées. Les nymphes ont des pouvoirs restreints - qu'elles transmettent d'ailleurs rarement à leurs enfants semi-humains - mais exercent un certain contrôle sur l'eau et la terre et sont également, à l'occasion, des guérisseuses par la vertu des plantes et des sources ou même des prophétesses qui rendent des oracles. Elles sont aussi souvent des sources d'inspiration artistique, ce qui fait qu'on les retrouve couramment dans des tableaux, statues (comme à Beauxbâtons), sculptures, fresques, fontaines, etc. Les nymphes ne sont pas immortelles mais elles vivent très longtemps et gardent leur apparente jeunesse jusqu'à leur mort. Aussi, les humains qui en descendent paraissent généralement toute leur vie plus jeunes qu'ils ne le sont en vérité. Les enfants de nymphes - qu'ils soient homme ou femme - ne sont pas particulièrement discriminés dans la société sorcière, du moins contrairement à d'autres sang-mêlés, mais ils éveillent une certaine méfiance sur un plan plus personnel : on les dit volages, inconstants et versatiles ; ce qui explique en partie leurs difficultés à fonder une famille et qui rend souvent leur vie malheureuse, sachant qu'ils sont - du fait du sang de nymphe qui coule dans leurs veines - incapables de s'adapter à la solitude : ils ont besoin d'être aimés et entourés pour être heureux. Encore aujourd'hui, les nymphes sont loin d'avoir disparu en France - elles peuplent notamment la forêt de Brocéliande - et affectionnent leurs aventures avec les hommes ; c'est pourquoi les enfants nés de l'union d'une nymphe avec un sorcier sont relativement nombreuses.
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:07 |
| LES DEMI-SIRÈNES« Saché-je d'où provient, sirènes, votre ennui quand vous vous lamentez, au large, dans la nuit ? » L es sirènes sont des créatures hybrides à la silhouette humaine jusqu'à la taille et ayant une queue de poisson couverte d'écailles à la place des jambes. Elles ont une longue chevelure opulente qu'elles aiment brosser à l'envi et le visage d'une belle jeune femme d'une vingtaine d'années. Elles vivent, avec les tritons, dans les eaux au fond de la mer méditerranée et ne remontent que rarement à la surface même si certaines sirènes, fidèles aux légendes, aiment se prélasser sur les rochers à proximité des côtes. Cela dit, la sirène est une femme séductrice et affriolante à la voix mélodieuse et irrésistible qui adore les simples hommes mortels ; elles en tombent d'ailleurs très souvent amoureuses lorsqu'elles les aperçoivent en raison des phéromones qu'ils émanent et auxquelles les sirènes sont très sensibles. Ainsi, lorsqu'elles aperçoivent des marins, les sirènes ne peuvent s'empêcher de les attirer par leur chant fascinant mais, tout comme chez les humains, il existe des sirènes mauvaises et d'autres bienveillantes. La plupart, de viles tentatrices, mènent les marins à la mort en déviant leurs navires sur les récifs, pour garder l’âme de leurs victimes prisonnière des flots. Il arrive même que les plus malfaisantes emmènent leurs victimes au fond des eaux pour les y dévorer. On dit aussi que lorsqu'un homme parvint à résister à une sirène, la colère de celle-ci est sans précédent et, offensée, blessée ou rejetée, elle serait capable de rendre fou son ennemi, le noyer ou bien, selon la légende, balayer d’un raz-de-marée sa famille, sa maison, voire tout son village... Mais d'autres sirènes, douces et pacifiques, apparaissent aux simples mortels pour les prévenir des tempêtes, les mener vers des zones riches en poissons ou crustacés voire même venir en aide aux blessés grâce à leurs connaissances en herbes et plantes médicinales. La légende veut que les sirènes n’aient pas d’âme et que c'est pour cette raison qu'elles recherchent des hommes pour les aimer et pour acquérir une âme tout en renonçant à leur longue vie. Les sirènes vivent en moyenne trois cent ans et, à leur mort, leur corps disparait en écume. Lorsqu'une sirène décide de s'unir à un humain, elle quitte l'océan et y laisse ses écailles pour revêtir l'apparence d'une femme. Tant qu'elle n'est pas fécondée, une simple goutte d'eau sur l'une de ses jambes suffit à lui redonner son apparence naturelle, la condamnant à une mort lente et douloureuse (son organisme n'étant pas conçu pour résister longtemps hors de l'eau). Cependant, dès qu'elle tombe enceinte, elle devient incapable de retrouver sa queue et sera ainsi forcée de rester sur terre jusqu'à son accouchement, auquel peu d'entre elles survivent, puisque trop fragiles et créées pour une toute autre façon de donner la vie, bien moins douloureuse. L'union d'une sirène et d'un humain mortel n'est donc pas aisée malgré la quête d'amour qui rythme la vie de ces créatures. Quoiqu'il en soit, les enfants, seulement des femmes, qui naissent ont des pieds palmés ce qui en fait de bonnes nageuses mais qui permet de les distinguer des humains. Les demi-sirènes ont également des facilités - plus que les simples humains - à manier et contrôler l'eau par magie. Leurs détracteurs disent également que les enfants d'une telle union héritent du narcissisme et de la vanité de leurs mères, ainsi que de leur susceptibilité. Les semi-sirènes ne sont pas forcément très estimées dans le monde magique, on considère dans l'opinion publique qu'elles sont nées d'une union coupable et défendue parce que, malheureusement, les filles qui naissent de l'union d'un homme et d'une sirène sont stériles et ne pourront jamais donner la vie. De plus, les légendes sur la cruauté des sirènes sont loin d'être enterrées, aussi attirent-elles la crainte des hommes qui redoutent d'être leurs victimes et le mépris de leurs fiancées qui jalousent leur attraction. Mais les semi-sirènes, si elles ne montrent pas leurs pieds, n'ont généralement aucun mal à se fondre parmi les humains. LES DEMI-TRITONS « Un triton a plongé dans les flots le troyen téméraire qui osa défier les divinités de la mer par ses chants. »
L es tritons sont des créatures au buste d'homme et au corps de poisson qui ont toujours près d'eux leurs objets fétiches et personnels : un trident pour les uns, une conque au son éclatant pour les autres. Contrairement aux sirènes, leur double féminin, les tritons sont bien plus hostiles aux êtres humains et peu préoccupés de trouver leur âme sœur terrestre et c'est pourquoi ils sont moins connus et, surtout, qu'il y a très peu de croisements entre une femme et un triton. Comme les sirènes, ils vivent dans les fonds marins et ne se rapprochent que rarement des côtes et des êtres humains. Ils fuient également les navires en mer pour éviter tout contact avec les marins qu'ils considèrent comme étant tout particulièrement nuisibles à la survie des espèces aquatiques... Évidemment, cet opinion publique n'est pas partagé de tous les tritons mais c'est la politique qu'ils ont choisi d'adopter en règle générale. Les tritons ont pourtant un don inestimable autant apprécié que redouté chez les humains. En effet, ils ont le mystérieux pouvoir, un sixième sens, de comprendre et détecter les subtilités d'un corps vivant, humain ou animal, et d'ainsi percevoir la santé du corps qu'ils ont sous leurs yeux : un dos défaillant, un début de cataracte, une jambe cassée, une femme enceinte, l'avancement d'un cancer des poumons, etc. Selon les spécialistes, c'est d'ailleurs pour cette raison que les tritons sont de manière générale si méfiants à l'égard des humains et parfois même si venimeux : ils considèrent que les humains recherchent leur contact et leur compagnie seulement pour leurs vertus... Ils leur reprochent de ne s'intéresser à eux qu'à cause de leur don et d'ainsi les reléguer au rang de simple outil. En vérité, les tritons aimeraient que leur statut soit entièrement reconnu et respecté chez les terriens mais ils sont à la fois trop orgueilleux et trop réfractaires pour que le premier pas vers le changement vienne d'eux. C'est d'ailleurs dommage car les tritons - alors qu'ils sont largement méprisés et haïs par les sorciers - sont bien loin de l'image machiste et détestable que leur donnent les légendes : en vérité, ils ont un sens de l'honneur hors du commun et sont très attachés à la vie de famille, peut-être excessivement d'ailleurs, et ont du mal à sortir du tableau patriarcal et familial. Ce sont des êtres conservateurs qui n'aiment pas, ou du moins qui craignent, le changement... Aussi voient-ils d'un très mauvais œil les rapprochements entre les sirènes et les hommes et abhorrent peut-être plus encore les sang-mêlés que les sorciers les plus rétifs. Pourtant, ils sont eux-mêmes grandement attirés par la femme terrestre qu'ils trouvent bien plus honorable - et donc bien plus désirable - que les sirènes et ont bien des difficultés à résister à leurs pulsions charnelles lorsqu'ils en aperçoivent une. La plupart du temps, les rares rapports que les tritons ont avec des humaines ne sont qu'éphémères et ne durent que le temps des jeux de l'amour... Il est donc d'autant plus rare, lorsqu'un enfant nait de cette fusion, que les tritons assument leur paternité. Ils craignent à la fois de ne pouvoir supporter le poids d'une telle responsabilité et d'être rejeté par les leurs - car un triton décidant de fonder une famille avec une humaine devient une parjure parmi les siens - mais, surtout, ils n'ont pas la moindre idée de ce que peut être l'amour et cette entité mystérieuse les effraie plus que tout. Tout comme les demi-sirènes, les demi-tritons - uniquement des mâles - naissent avec des pieds palmés et se révèlent éminemment doués pour les sortilèges à base d'eau. Cependant, au contraire de leurs sœurs, les demi-tritons ne sont pas inféconds et ils héritent aussi d'un fragment du don médical de leurs pères en se découvrant de sibyllines prédispositions pour la médicomagie... Mis à part leurs pieds palmés, physiquement, les demi-tritons ne diffèrent que très peu des hommes.
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:07 |
| LES DEMI-VÉLANES« Elle était blonde, diaphane et élégante. » L es vélanes - vélans pour les mâles - sont des créatures de l'est de l'Europe et plus précisément de Bulgarie d'où elles tireraient leurs origines, selon la légende, et où elles vivraient majoritairement. C'est ainsi une race mixte mais les humains ont souvent tendance à l'oublier puisque d'une part, chez les vélanes, c'est la femelle qui est largement dominante et, d'autre part, les vélans sont beaucoup plus introvertis que leurs égales féminines et n'apparaissent que très peu dans le monde sorcier : ils préfèrent rester au sein de leurs différents clans au cœur des montagnes et des forêts sauvages. Les sorciers, par ailleurs, sont tantôt fascinés, tantôt effrayés par les vélanes, sans doute parce qu'ils ne savent que très peu de choses d'elles et de leur magie... or les sorciers ont tendance à préférer mépriser voire haïr l'inconnu plutôt que de reconnaitre leur nescience. Ainsi les vélanes, aussi bien mâles que femelles, sont d'une beauté si captivante et si envoutante qu'elle en parait presque irréelle. Mais magique est le mot qui définit le mieux cette mystérieuse grâce, grâce, qui, d'ailleurs, ne devient véritablement active et concrète à la puberté de la vélane ou du vélan. Les vélanes sont des êtres splendides et d'un charme incomparable et toutes partagent invariablement les mêmes caractéristiques physiques : elles ont les yeux bleus, une peau claire qui scintille au clair de lune et, surtout, une chevelure d'or blanc, voletant et flottant dans leur dos même en l'absence de vent, qui fait leur notoriété dans le monde magique puisque les cheveux de vélane sont notamment utilisés dans la confection de baguettes magiques... En outre, le charisme naturel des vélanes est accentué par le pouvoir d'hypnose qu'elles possèdent - et qui fait, en revanche, défaut aux vélans - sur l'homme (les femmes y étant parfaitement insensibles et ont d'ailleurs générale une médiocre estime des vélanes) lorsqu'elles dansent ou chantent. Ainsi, lorsqu'ils les regardent, les hommes perdent la raison et n'ont plus d'autre préoccupation que continuer à scruter les vélanes et les impressionner par tout moyen (notamment accomplir un acte extraordinaire et dangereux : de nombreux hommes y ont perdu la vie). Ils peuvent aller jusqu'à oublier de se nourrir, de boire ou de dormir pendant plusieurs jours – parfois jusqu'à la mort – s'ils sont soumis au pouvoir des vélanes régulièrement et continuellement. La légende veut par ailleurs que quiconque pénètre dans l'anneau de vélane – le cercle d'herbe aplatie où une vélane a dansé – serait frappé de malchance et de maladie précoce. Également, les vélanes sont associées au feu, d'abord parce qu'elles en ont le parfait contrôle élémentaire, ensuite parce que ce sont des créatures passionnées, volcaniques et fiévreuses qui se retrouvent très vite dépassées par leurs émotions. Elles prennent tout à cœur et ont tendance à tout prendre au pied de la lettre : entre autres, elles abhorrent tout particulièrement le mensonge et le manque de respect. Ceci dit, on ne peut manquer une vélane qui a perdu son sang-froid lorsqu'on en voit une puisqu'elles possèdent un pouvoir de métamorphose affecté par leurs émotions. En effet, irritées, elles perdent toute leur beauté : leur visage s'allonge jusqu'à ressembler à une tête d'oiseau au bec cruel. Des ailes couvertes d'écailles jaillissent ensuite de leurs épaules et, pour finir, leur voix devient si aiguë qu'elle n'est plus que hurlements perçants. C'est aussi dans ces moments de sombre colère que les vélanes utilisent le feu à de mauvais desseins ou, soit pour se venger de l'affront qui leur a été fait, soit pour venger un être cher ; et c'est sans doute pour cette raison qu'on les dit capricieuses et arrogantes. Pourtant, les vélanes sont des êtres loyales et très attachées aux valeurs morales, ce qui leur a notamment valu le respect des français en règle générale : en effet, les vélanes sont certainement les sang-mêlées les mieux intégrées dans la société sorcière malgré la méfiance qu'elles suscitent... Qui plus est, comme les sirènes, les vélanes recherchent toute leur vie l'amour mais, à la différence de leurs lointaines cousines aquatiques - volages - les vélanes ne rencontrent qu'une fois le véritable et grand amour et toute leur vie tourne autour de cette fatalité. Particulièrement sensibles aux phéromones secrétées par les êtres vivants, elles sentent celles-ci comme un véritable parfum aphrodisiaque. Les effluves dégagées par l'âme sœur, lorsqu'elles la rencontrent, sont irrépressibles et la vélane sait alors qu'elle a en face d'elle sa moitié terrestre. Et, comme ce sont des créatures tout spécialement fébriles et amoureuses, tragiques également, elles se donnent généralement la mort, par désespoir, si leur grand amour les rejette mais l'entrainent avec elles pour qu'ils soient unis dans l'éternité. Leur union avec un sorcier n'est donc pas rare et ne nuit à aucune des deux espèces. L'union d'un vélan et d'une sorcière est déjà plus rare étant donné l'introversion des vélans. Quoiqu'il en soit, les vélanes parviennent même très souvent à s'adapter parfaitement à la vie et aux mœurs des sorciers et, par conséquence, parviennent à fonder un foyer. Les enfants nés de cette union conservent le charme magique et magnétique des vélanes mais pas leur pouvoir de métamorphose - ce qui n'est pas plus mal puisqu'il est plus considéré comme une malédiction qu'un don. Les garçons comme les filles ont immuablement la même chevelure dorée voire nettement opaline et très souvent les mêmes yeux clairs. Ils ont également une prédisposition quant à la maitrise des sortilèges invoquant le feu. Les semi-vélanes sont généralement bien intégrées dans le monde magique, malgré leur hybridité. Et, tout particulièrement dans l'hexagone, elles sont tolérées voire même courtisées car les sorciers considèrent qu'elles portent en elles le charme à la française et les valeurs du pays.
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:07 |
| LES LYCANTHROPES« Folle est la brebis qui au loup se confesse. » S elon la légende, les loup-garous sont originaires de l'Europe du nord mais se sont disséminés dans toute l'Europe et notamment en France. Toujours selon la légende, ils s'éveillent et se lèvent les nuits de lune pleine mais, en vérité, ce sont des humains qui se transforment une fois par mois. En cela, les lycanthropes sont des créatures bien particulières qui ne ressemblent à aucunes autres. D'ailleurs, physiquement, le loup-garou n'existe que très rarement, le temps d'une nuit par mois puisque le reste du temps l'humain atteint de lycanthropie est parfaitement normal et ordinaire. Certains symptômes, évidemment, permettent de repérer un loup-garou mais il faut vraiment s'y connaitre et savoir ce que l'on recherche pour découvrir qu'un loup-garou se cache derrière un visage humain... Et rares sont ceux qui souhaitent découvrir qu'un de leurs proches est en réalité un loup-garou car, dans le cœur des sorciers, c'est une affligeante malédiction, une véritable maladie. Et les lycanthropes sont de loin les créatures les plus redoutées car ils peuvent transmettre leur mal à n'importe quel homme... En effet, la lycanthropie n'est pas héréditaire et c'est par la morsure que les loup-garous se reproduisent dans le monde. Le loup-garou vient ainsi à la vie lorsqu'un homme est mordu par un autre lycanthrope : c'est le poison secrété au moment précis de la pleine lune qui rend cette mutation possible. La morsure, quant à elle, est profonde et ample si bien qu'elle met un temps infiniment long à se refermer et laisse à vie une cicatrice. Aucune magie ne peut rien contre ça. Celui qui a été mordu doit ensuite prendre des mesures drastiques et rigoureuses pour faire face à sa nouvelle condition et apprendre à la gérer, ce qui n'est pas une mince affaire, loin de là. Heureusement, grâce aux progrès faits dans la fabrication de potions et de remèdes, un filtre magique, appelé la potion Tue-Loup a été découvert mais cette dernière ne permet pas de guérir un loup-garou, seulement d'atténuer et de minimiser les effets de la transformation. Elle affaiblit le loup pour le rendre inoffensif ( même si c'est loin d'être une garantie suffisante contre cette créature - et, également, on a découvert récemment qu'un loup-garou ayant bu à intervalles réguliers la potion Tue-Loup pendant plusieurs années voire seulement plusieurs mois ne se transformera pas avant que les rayons de la lune ne l'atteignent, avant qu'il ne soit directement exposé à la lune et ses rayons. La mutation d'un loup-garou lors de la pleine lune est un spectacle on ne peut plus effrayant et douloureux. En effet, tout en grognant ou hurlant de souffrance, le corps humain se transforme lentement en loup : son visage et son corps s'allongent, ses épaules se voûtent, une fourrure noire vient recouvrir toute la peau, ses mains se rétractent jusqu'à devenir des pattes velues et dotées de griffes spectaculaires... D'une forme humaine tout à fait commune, le loup-garou se métamorphose ainsi en un grand loup si imposant et fort qu'il est capable de se tenir à la verticale, sur ses postérieurs. Mais ce n'est pas le seul changement physique qui se produit puisque, en effet, le loup-garou voit ses sens acérés après sa transformation : agilité, ruse, puissance, vision nocturne, férocité et vitesse aiguisées... Le loup-garou est affûté pour la chasse, sa principale activité sous sa forme animale et alors que son instinct animal se retrouve violemment exacerbé, toute trace de conscience humaine disparaît chez le loup-garou transforme. Il peut dès lors attaquer n'importe quel sorcier, ou sorcière, qui croise son chemin et c'est pour cette raison qu'il faut que le lycanthrope se tienne loin de tout humain lorsqu'il se transforme en loup. Généralement, il part se cacher dans une forêt où il trouvera de nombreuses proies animales à prendre en chasse mais certains - ceux qui renient et refusent le plus leur nature - choisissent de solidement s'enchainer le temps que dure le calvaire. Comme l'attestent les vains efforts des médicomages, les loup-garous, sous leur forme lupine, restent globalement imperméables à la magie - même aux sorts impardonnables - ce qui amoindrit considérablement les chances de survie d'un sorcier face à un lycanthrope, sans toutefois, la rendre impossible. Assurément, les loup-garous ont une faille considérable : l'argent pur auquel la peau du loup est très vulnérable puisqu'il la brûle littéralement. Et plus le contact est long, plus la brûlure s'intensifie et devient vénéneuse : dans le meilleur des cas, elle laisse une marque qui disparaitra avec le temps mais bien souvent la brûlure est irréversible et ne s'effacera jamais... Dans le pire des cas, elle cause la mort du loup-garou. Autrement, sous sa forme humaine, le loup-garou reste visiblement sensible à l'argent qui, sans la brûler, irrite tout de même sa peau et rend le contact difficilement supportable. D'autre part, sous leur forme humaine, les loup-garous restent manifestement affectés par leur nature même si la plupart des sorciers n'y voient rien d'anormal. En premier lieu, ses sens sont plus développés que la moyenne et varient mensuellement : plus la lune grossit et se rapproche de sa plénitude, plus les sens s'épanouissent. On a également pu dire que les loup-garous avaient un sixième sens car, comme bien des animaux, ils développent un instinct qui les attire ou les tient éloignés de certains personnes par une force intérieure difficilement explicable... En second lieu, la morsure d'un loup-garou change fondamentalement le comportement de la personne infectée : par exemple, elle va devenir plus solitaire, plus méfiante, plus protectrice envers sa famille, va se découvrir un goût pour la viande saignante, etc. D'ailleurs, la morsure d'un loup-garou, alors qu'il n'est pas sous sa forme lupine, peut affecter le comportement de la victime sans toutefois la transformer... Il faut savoir, sinon, que ce n’est pas, chez les lycanthropes, le comportement animal qui est dangereux mais bien l’homme qui est derrière. Le choix, le libre arbitre, l'humanité sont plus forts que l’instinct et la bestialité. Le choix de faire le bien ou de faire le mal appartient au loup-garou ou à l’humain et, même si être un loup-garou est un handicap social, cela n'altère pas la personnalité de l'humain qui a été mordu (si ce n'est, évidemment, un changement dû au traumatisme dont certains ne se remettent pas). Aussi, seuls les hommes peuvent devenir des loup-garous car les femmes ont une constitution et un organisme trop fragile pour s'adapter à la morsure d'un loup-garou : elles n'y survivent pas. Généralement, les lycanthropes s'isolent des autres sorciers et vivent reclus pour ne pas risquer de prendre ou détruire la vie qu'on leur a, à eux-mêmes, volé mais certains choisissent pourtant de vivre au milieu des sorciers et des sorcières tout en cachant leur véritable nature. D'ailleurs, rien ne les empêche de fonder une famille puisque la semence d'un loup-garou est fertile : ils peuvent devenir pères et ne transmettent pas leur maladie à leurs enfants. À moins, évidemment, qu'ils ne les mordent...
Dernière édition par Ad Astra le Dim 8 Jan - 22:21, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: CHAPITRE 1 : les hybrides. Dim 20 Nov - 3:08 |
| LES NAINS ET LES DEMI-NAINS« Vous n’êtes, après tout, qu’un minuscule individu dans le vaste monde. » L es nains sont une race humanoïde très ancienne et pourtant méconnue des sorciers les plus jeunes. En effet, la plupart des jeunes sorciers ignorent ou, pour être exact, préfèrent ignorer qu'il existe des hommes de petite taille qui leur ressemblent étroitement... si ce n'est qu'ils sont moitié moins grands. Et comme les nains forment un peuple reclus qui côtoie très peu leurs « géants » cousins, les sorciers en général pensent que, lorsqu'ils rencontrent un nain ou un demi-nain, ils ont simplement affaire à un humain connaissant un ralentissement de croissance. Ils sont ainsi bien loin d'imaginer que les nains forment un peuple à part entière ayant adopté un mode de vie, des coutumes, des valeurs propres à leur race et qu'ils se sont installés de façon à créer une véritable communauté de laquelle sont exclus les hommes et les femmes de grande taille. Les nains, en réalité, de vivent pas tous ensemble mais ont formé au cours des siècles différents clans disséminés dans toute l'Europe centrale et chaque clan a ainsi développé une particularité lui étant propre. Certains de ces clans sont établis dans les montagnes creuses, d'autres dans des cavernes ou des grottes mais tous ont en commun de vivre dans un milieu souterrain : les nains considèrent autant par leurs croyances populaires que par la réalité immédiate que c'est sous terre qu'ils sont le mieux protégés et le mieux dissimulés du regard et des malheurs extérieurs. Ce monde sous terre est d'ailleurs d'une immense richesse, richesse que les nains exploitent sans demi-mesure. Les nains forment un peuple fier, susceptible, renfermé et plein de secrets sur lesquels ils sont heureux de faire planer le mystère et tout particulièrement en présence des sorciers. En effet, les nains sont des artisans et des forgerons hors pairs dont la créativité et la dextérité sont légendaires, de même que leur grande connaissance des secrets de la nature et des minéraux et métaux qu'ils extraient depuis les profondeurs de la terre. Artisans du fer, du feu mais également maitres du filage de textiles d'une solidité sans pareille, les nains entretiennent de précieuses relations commerciales avec les sorciers depuis la nuit des temps. C'est en effet un passage peu connu de l'Histoire que bien des sorciers trop orgueilleux ou trop chauvins préfèrent taire mais les nains sont à l'origine de nombreux objets légendaires que tous les sorciers connaissent … à commencer par la poudre de cheminette qui est en réalité extraite des cendres recueillies des forges des nains mais surtout d'accessoires de guerriers comme l'illustre Excalibur, l'épée du roi Athur aujourd'hui perdue. Ceci étant, l'art des nains aujourd'hui consiste surtout à créer des bijoux ou des ornements uniques... Il faut aussi ajouter qu'en réalité, si les sorciers prisent l'art des nains c'est que ces derniers sont investis par la nature d'une magie profonde et pure qu'ils utilisent dans la forge ou le tissage afin de créer des objets pleinement magiques, ce que les sorciers ne savent pas faire. Effectivement, là où les sorciers se contentent d'ensorceler des objets – faute de pouvoir faire mieux – les nains, eux, les fabriquent avec une magie qui leur est inhérente et que rien ne peut altérer, si ce n'est la destruction de l'objet lui même. Les nains, ainsi, créent des objets uniques, magiques et magnifiques qu'aucun art sorcier ne peut égaler. Une vieille histoire raconte que l'or et les pierres précieuses sont les jouets des nains et le fer leur serviteur et les nains sont extrêmement fiers de cet adage. D'ailleurs, pour la petite anecdote, la légende de Beauxbâtons veut que Nicolas Flamel ait sollicité l'aide des nains pour parfaire sa connaissance des gemmes et pour, entre autres chef d'œuvres, aboutir au secret de la pierre philosophale ou celui de la fontaine de Beauxbâtons. Mais une fois encore, il faut rappeler que si les nains font de leur art une énigme et s'isolent eux mêmes du monde extérieur – si ce n'est pour commercer – ils sont pourtant heureux voire même désireux de transmettre leur savoir aux humains qui en manifestent l'envie et qu'ils jugent honorables et dignes de partager leur science. De plus, si les nains sont ordinairement considérés comme des êtres belliqueux et avares, il est toutefois monnaie courante qu'ils se montrent très généreux avec les personnes qu'ils estiment : bien souvent, ils n'hésitent pas à offrir aux personnes qui leur ont tiré une mauvaise épine du pied de merveilleux trésors – objets de leur fabrication, souvent de leur collection personnelle – en reconnaissance. Les nains, sinon, s'intéressent peu aux affaires du monde extérieur et, sauf, encore une fois, à commercer, se détachent de la vie des sorciers. D'ailleurs, ils blâment et répriment fortement les jeunes nains qui rêvent d'évasion et d'aventures et qui manifestent le désir de s'installer définitivement parmi les humains : ils arrivent même qu'ils bannissent de leur communauté les nains passant outre leurs avertissements – ordres implicites – et ceux-là n'ont alors pas d'autre choix que de trouver exil chez les sorciers. Ainsi, les unions entre nains et humains sont assez fréquentes et les enfants qui en naissent ressemblent singulièrement aux humains. Évidemment, les garçons comme les filles ne dépassent jamais le un mètre soixante et, bien souvent, se découvrent de nouvelles tâches tout au long de leur vie mais à ce détail près, leur physique paraît tout à fait humain. On a aussi pu dire que les nains et les demi-nains étaient des fortes têtes très fières d'elles et que le seul moyen de les discipliner était de les vaincre en combat singulier, escrime, duel magique, ou tout autre défi. Dès lors, ils se montreraient d'une loyauté et d'un respect indéfectibles. Ceci n'est, cependant, qu'une rumeur non vérifiée... |
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